Actualisée
le 30 mars 2011
La
revue de presse qui est mise
à
jour régulièrement est une
sélection
personnelle.
Visitez aussi
Le point sur
Big Brother - 1 Juil 2007
Le point sur Big
Brother - 2 Août
2007
Le point sur Big
Brother - 3 Sept/Oct
2007
Le point sur Big
Brother - 4 Nov/Dec 2007
Le point sur Big
Brother - 6 Avril-Juin
2008
Le point sur Big
Brother - 7 Juillet-Sept
2008
Le point sur Big
Brother - 8 Oct/Dec 2008
Le point sur Big
Brother - 9 Jan/Mars
2009
Le point sur Big
Brother - 10 Juil/Sept
2008
Le point sur Big
Brother - 11 Jan/Juin
2011
- Des
micro-ondes pour neutraliser un véhicule à
distance
- Un
véhicule "superpatrouille" testé par la police
australienne
- Le
drone s'impose dans le ciel irakien
- La
RFID aura le vent en poupe en 2008
- La
mairie de Londres pourrait contrôler la vitesse par GPS
- Les
Adventistes allemands font entendre leur voix
- L'invasion
des puces communicantes
- Bientôt
des puces RFID sous la peau des délinquants anglais ?
- Un
détecteur de voitures volées passe Paris au crible
- Faut-il
craindre le fichage des élèves ?
- Les
services secrets auront bientôt accès aux dossiers
fiscaux
- 600
camps de concentration aux Etats-Unis
- Création
du premier enfant robot: Projet Robotcub
- Les
élèves sous haute surveillance
- Pentagone:
"Nous devons combattre le Net"
- Fichier
ADN & Justice
- Un
avion-espion dans un soulier
- La
"simulation de noyade" autorisée lors d'interrogatoires
- Chine:
500 millions d'abonnés mobiles sous le regard de la police
- L’armée
veut lire dans le cerveau de ses soldats
- Big
brother joue au docteur
- Taser
X 26: "Un tiers des policiers ne sont pas assez formés"
- La
police se dote d'outils pour traquer les sites illicites
- Etats-Unis
- Vers une base mondiale de données biométriques ?
- Bruxelles
veut blinder les frontières de l'UE avec la
biométrie et l'électronique
- Mme
Alliot-Marie veut prolonger le dispositif de lutte antiterroriste
- Russie
: Passeports biométriques
- Police
du futur
- Les
drones sous-marins enrôlés par les
armées du monde entier
- La
carte nationale d'identité made in USA
- Reynard,
chasseur de terroristes sur le web
- Le
FBI reconnaît avoir collecté des informations
privées
- Le
rapport Bauer remis à M. Sarkozy organise la veille
sécuritaire
- 31%
de croissance pour le marché du RFID en 2008
- 336
milliards de données personnelles
récupérées en un mois par cinq sites
- La
justice se dote d'une super-plate-forme d'écoutes
- De
plus en plus d’informations numériques par habitant
- NROL-28
: un nouveau satellite espion en orbite
- Les
salariés se pensent surveillés, lus et
écoutés
- L'ONU,
"un nid d'espions"
- L'homme
qui avait le téléphone dans la peau
- Un
Yéménite décrit à Amnesty
la torture dans les prisons secrètes de la CIA
De l'avantage de la voiture sans électro .. nique .. nique.
Le High
Power
Electromagnetic System, développé
évidement par les poètes militaires,
donne la possibilité
d'introduire à distance un courant électrique
parasite dans les
câblages de l'électronique d'un
véhicule pour provoquer des
perturbations en chaîne allant
jusqu'à griller les microprocesseurs et
donc rendre le véhicule totalement incontrôlable
par son chauffeur.
On voit tout de suite l'intérêt des
policiers qui se frottent les
mains à l'idée d'arrêter n'importe quel
véhicule comme on joue d'un
rayon laser dans les jeux vidéo. Pas besoin de se forcer
pour imaginer
le prochain carambolage monstre sur l'autoroute: un policier nettoyait
son canon à ondes HPES quand le coup est parti !
La partie n'est cependant pas gagnée pour les supers
shérifs car les constructeurs automobiles travaillent
justement pour immuniser
leurs véhicules contre les
agressions électromagnétiques
extérieures. En effet, à la suite
d'accidents impliquant la
responsabilité des
systèmes électroniques*
équipant les véhicules de bonne gamme, les
grandes marques ont pris au sérieux l'importance des champs
électromagnétiques des multiples
systèmes électroniques existants
(autres véhicules, onde radio, antennes relais, Wifi,
etc...) susceptibles d'interférer avec
l'électronique
embarquée quand leurs fréquences se
recouvrent. Renault
à même créer un pôle CEM
(Compatibilité Electro Magnétique)
chargé
d'évaluer l'ampleur de cette réalité
et d'y
trouver des remèdes afin de s'assurer
que l'électronique de ses véhicules
soit parfaitement protégés et isolés
des champs électromagnétiques
extérieurs.
Mais ne rêvons pas trop car la recherche militaire a de
nombreuses ressources et quelques coups d'avance surtout par les temps
que nous vivons, sans compter l'appui des dévoués
politiques, pour imposer l'implantation dans
les véhicules du "boîtier" permettant
d'en prendre à distance les commandes à l'image
du mouchard que sont
autorisés à mettre les policiers dans nos
ordinateurs. Les puces RFID sont d'ailleurs
déjà massivement dans la place.
Moralité: Au royaume de Big Brother, il vaut mieux rouler
en 2CV.
* Notamment les régulateurs de vitesse,
les commandes de freins, de direction et
d'accélération.
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Prenons l'habitude des Cyber Patrouilles avant l'arrivée des gardiens droïdes.
Pour bien s'habituer
à la société de Big Brother-
c'est à dire à la dictature globale absolue - il
convient de faire entrer dans tous les secteurs de la
société les innovations
technologiques de contrôle, de traçage, de gestion
et de surveillance qui font de moins en moins intervenir le facteur
humain d'appréciation ou de décision.
Ainsi, l'équipement jamesbondien de ce véhicule
de patrouille policière n'apporte rien que la
technologie du traçage ne permet
à l'heure actuelle au regard de la mission et ne
rempli pas les objectifs qui le justifient, notamment la
détection des véhicules volés par la lecture
des plaques d'immatriculation.
De fait, embarquer des caméras qui filment sous tous les
angles et lisent les plaques d'immatriculation, intégrer des
GPS qui évaluent les distances ou servent pour suivre en
permanence la position de la patrouille devant
l'écran d'un poste de contrôle
central, réduit
le rôle du policier à celui d'un simple chauffeur
sécurisé jusque dans ses interventions physiques
sur les citoyens par des Taser et sur les véhicules par des
canons à ondes
électromagnétiques.
A ce rythme et suivant cette logique, les techniciens des forces de l'ordre
(lequel ?), déjà
passablement sélectionnés pour leur
aptitude à jouer les matons
infantilisants de la population et qui n'ont
déjà plus grand chose de citoyens, seront
probablement remplacés dans peu de temps par des
robots ou des drones commandés
à distance, scellant définitivement la
finalité du
régime de Big Brother.
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Des drones pilotés de très loin mais qui voient de très près.
Comme c'est le cas sur tous les
théâtres d'opérations militaires,
l'Irak dévasté est manifestement aussi un laboratoire
d'expérimentation pour les matériels militaires
et policiers du futur. Parmi ceux-ci, l'industrie des
drones dont l'importance apparaît de plus en
plus partout ailleurs, fait voler des petits bijoux de
technologie qui préfigurent ceux
qui patrouilleront au-dessus de nos têtes dans une
poignée d'années (ou de mois ?).
Ainsi, on apprend au travers d'un rapport du
ministère américain de la Défense (en
l'occurrence il s'agit plutôt du ministère de
l'attaque !) que les appareils utilisés en Irak sont ... télécommandés
depuis le centre du territoire américain.
Difficilement détectables par les radars, quasiment
inaudibles et invisibles à l'œil nu,
bientôt dotés d'une autonomie quasi sans limites
grâce à l'énergie solaire
et capables d'embarquer des systèmes de vision,
d'écoutes et de renseignements sophistiqués, tout
ceci montre que ces mouchards
du ciel sont en
passe d'être le pivot de l'infrastructure des forces de
l'ordre et les plus implacables surveillants de tous nos
déplacements. Que leurs pilotes puissent
être bien à l'abri sur d'autres continents est
encore moins rassurants.
Moralité: Dans tous les cas, sortons couverts.
Voir aussi mes commentaires d'actualité sur le
sujet:
- Ca se passe en Belgique et
en Angleterre et ..... ça va venir en France.
- Le
procédé est moins discret que la puce
RFID embarquée, mais il prend des photos.
- Les
gardes-frontière prennent de la hauteur .. pour mieux te
voir mon enfant.
- Etat
de siège déclaré contre les citoyens.
- Le Chicoungougna de la République..
- Le
club des espions ailés s'agrandit. (avec petite
collection de vidéos)
- Le
drone, un principe à usages multiples mais à
finalité unique.
- Drone
caméléon anémique.
- Avec
le drone au Taser, le feu du ciel sera policier.
- Alerte
! Alerte ! Après le ciel et la terre, les drones envahissent
les mers
- Le marché des drones est en
pleine expansion. Devinez pourquoi.
-
Drones: De la surveillance passive au contrôle actif puis à la
répression... mortelle.
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Equipement global de la société en puces de traçage. Fin définitive de la notion de vie privée.
2008 sera donc l'année
du tout traçage avec la
généralisation de l'équipement
des puces RFID sur tout ce qui se vend.
Ainsi, avec le
couplage entre les RFID qui vont équiper tous les produits
commercialisés, les technologies Wifi qui ont
pénétré les habitations et irriguent
le domaine public par la multiplication des bornes identifiables ou
fondues dans le paysage, et le développement des
performances
des
lecteurs - notamment la distance de lecture - c'est un véritable
maillage serré, complet et global, qui entre en fonction
opérationnellle.
Quelques "avantages" de l'ordre du gadget vont couvrir le système
global de suivi de la population dans ses déplacements, ses
achats, ses loisirs, ses habitudes et ses communications.
Ne reste plus que l'annonce imminente de l'existence d'un
système de fichier croisant toutes les infos
récoltées en temps réel et la
notion juridique et effective de vie privée devra
être retirée du langage commun et des codes civil
et pénal.
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Le GPS: un fil à la patte qui en plus peut coûter très cher.
On
n'attrape pas les mouches avec du vinaigre. Il
faut un peu de sirop. Le gadget du GPS commence à montrer
les multiples utilisations qu'il permet et que les accros au guidage
assisté n'avaient évidement pas
envisagées. Il faut dire que se doter des instruments de
bord d'un concurrent du Paris-Dakar pour faire
par autoroute Paris-Marseille, Lyon-Bordeaux ou aller de Neuilly
à La Bastille est
surtout la preuve d'une grande prédisposition à
la bêtise et au snobisme. Deux qualités
très
recherchées pour équiper sans qu'ils ne s'en
doutent les citoyens branchés d'un fil
à la
patte.
Le GPS, c'est top ! La carte routière ou le plan de ville
c'est ringard ! Peut être, mais
ça peut aussi coûter très cher.
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Des micros même dans le confessionnal.
Le sacro saint secret professionnel est
incompatible avec une société du
contrôle et de
la surveillance. Les assistantes
sociales, les médecins,
les
avocats
et les autres métiers ou bénévoles
associatifs auprès desquels le citoyen
pouvait épancher la confidence de ses actes les moins
glorieux et de ses situations les plus gênantes
ou les plus humiliantes en ayant la certitude que
l'interlocuteur serait un tombeau inviolable, sont
désormais
des traîtres potentiels. Pour les croyants
adeptes d'une religion, il
restait cependant un dernier confident fiable en la personne
des intermédiaires
divins que sont les prêtres, pasteurs, rabbins, etc... Ce ne
sera certainement plus le cas dans peu de temps puisque ces derniers
auront comme témoin à coté du dieu
qu'il représente, le surveillant du Maître
terrestre qu'est le Big Brother policier.
Il restera donc au croyant l'ultime solution de s'adresser
directement et par la pensée à son dieu pour
lui confier ses secrets les plus intimes. Hélas
pour lui, si l'écoute divine n'est pas garantie, celle du
Big Brother risque fort d'être certaine puisque la
recherche scientifique est en passe de permettre la lecture des pensées.
Haut
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L'humanité en voie d'être phagocytée par la pandémie des puces électroniques parasitaires.
Une fois admis le principe
du marquage des biens,
des
services et des
humains, vient le temps de la mise en oeuvre de
l'interconnexion
entre les mouchards collés ou
implantés sur eux. C'est à ce stade
que se
dévoile le véritable objectif qui est de
"mailler"
l'ensemble de la société en reliant
en
temps réel et de manière active toutes ses
composantes afin de les
surveiller, de les contrôler
et de
les "piloter".
La révolution du XIX° siècle a
été l'innovation industrielle et la
rationalisation de la production, celle du
XX° s'est illustrée par la maîtrise de la
communication et la rationalisation scientiste de la gestion politique
des populations. Celle du XXI° siècle s'annonce
comme
étant l'ère
de
l'humanité robotisée, aboutissement
de la réunion des techniques amenées par les deux
siècles précédents.
Ce n'est pas un mystère que de trouver les
descendants des promoteurs des deux
dernières révolutions - qui n'ont somme toute
créées que des
illusions et beaucoup de malheurs
pour un peu de pseudo-confort passager - aux commandes
de celle que nous allons subir. Beaucoup d'indices montrent
que cette fois-ci les effets de la pilule d'illusions qui fait oublier
les chaînes, seront de très courte
durée.
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Eugénisme social: Des implants électroniques en guise de double peine ... à vie.
L'eugénisme est un concept
final propre à toutes les idéologies dont le but
est de mettre
en coupe serrée les populations. Tous ceux dont
la raison d'être est d'endosser l'habit du berger de
l'humanité - et ils sont nombreux dans la race des
politiques, des religieux et des prédateurs
économiques - finissent toujours par envisager de faire un tri dans
les humains qu'ils entendent traiter comme des moutons adorateurs.
Mais pour mettre en place ce tri, il leur convient d'en faire
accepter le principe sans en donner la finalité, l'ampleur
de la base de données - l'ensemble des citoyens -
et les critères réels. Le recours à la
sécurité est donc le moyen le plus
approprié pour mettre
en place les instruments qui permettront la soustraction dans
la population des "sélectionnés".
En puçant d'abord les délinquants puis
inévitablement l'ensemble
de la population, il suffira d'introduire
dans les capteurs de lecture les données
sélectives identifiant les caractéristiques
recherchées pour que les puces implantées dans la
chair des humains scannés dénoncent
immédiatement les porteurs "néfastes" de ceux
conçus comme "sains". Arrestations et
soustractions instantanées ne poseront aucun
problème puisque le maillage des lecteurs en cours d'inonder
les lieux publics et privés interdit à un
"fugitif" de se cacher plus de 5 minutes.
Qui se souviendra alors que l'absence de réactions violentes
au puçage des délinquants anglais a permis d'en
arriver à l'eugénisme social global ?
Voir aussi mon commentaire sur cette info dans la
revue de presse: Manipulations 2008
Haut
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La police se dote des multiples avantages de l'infrarouge.
Ce gadget de repérage pour interception
des véhicules volés pourrait
bien dissimuler un
emploi futur un peu plus élargi. En effet,
l'infrarouge de
sa caméra gyroscopique est surtout bien connu pour la détection
et le suivi d’humains dans des environnements
intérieur et extérieur. Son
développement et son utilisation courante par les militaires
(vision nocturne par exemple) est d'ailleurs essentiellement
accès sur ce type de recherche. Dès lors, quelle
que soit la justification à venir par
l'augmentation des résultats qu'afficheront les patrouilles
de limiers en quête de véhicules volés,
non restitués dans les délais à leur
loueur, empruntés, ou simplement signalées, on ne
pourra pas s'empêcher de prévoir son aide dans des
arrestations
de "fugitifs" ou de braveurs de couvre-feu, lors de patrouilles
- ou de chasses à l'homme - noctures
dans des lieux - la banlieue par exemple - ou le fantassin policier
répugne à sortir de son véhicule pour
fouiller les buissons ou inspecter les halls d'immeuble mal
éclairés.
Je ne serais pas étonné que la prochaine
caméra gyroscopique policière soit
dotée de la détection thermique.
Haut
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Le fichage n'est pas une finalité, mais un moyen.
Chaque
homme a la particularité d'être unique
ce qui le rend incompatible
à sa gestion rationalisée.
Cette évidence est la pierre d'achoppement sur laquelle
buttent
tous les concepteurs de l'organisation scientiste de la
société et tous les penseurs de l'ordre
panurgien. Ces bergers
de l'humanité se sont essayés
à plusieurs techniques allant de la contrainte
autoritaire à l'acceptation
par la manipulation de masse, voir même
actuellement au conditionnement
cérébral.
Ils ont promu au rang de sciences des techniques comme
la sociologie, la psychologie, le management, le
conditionnement,
la génétique raciale, l'éducation, la
politique,
la stratégie, l'économie, le contrôle,
le suivi ou
le marketing, afin d'appréhender le plus large spectre du
génome global de l'humanité et de
concevoir des équations
mathématiques de gestion
étanches aux bugs.
Mais, comme toute gestion
scientifique,
la gestion rationalisée des humains repose sur la
fiabilité
de la base de données contenant le scan
de chacun d'eux obtenu par la centralisation et le croisement
des
multiples critères
d'évaluation que contiennent tous les
fichiers. C'est à cela que sert notre présence
individuelle dans plus de 400
fichiers validés par la CNIL - ce qui
est déjà
très loin
d'être sécurisant - et dans plus de
1500 fichiers supplémentaires -
officieux et souvent très secrets - qui enregistrent nos
faits et gestes en temps réel
pour permettre, en plus de nous suivre
à la trace, d'établir
notre portrait
psychologique. Car c'est bien à cette
finalité
que servent les bases de données. Dans cette optique, la
création de ce fichier scolaire n'est
évidemment qu'une matrice
informatique de "l'opération fichage global"
destinée aux plus jeunes après y
avoir habitué les adultes, et dont
l'utilité, dépassant le livret scolaire, sera de compiler
- hors l'intervention directe des enseignants - des informations
provenant d'autres sources ou d'évaluations anodines qui
leur seront demandées dans le cadre d'autres
programmes, comme les comportements individuels des
élèves en récréation ou
leur appétit à la cantine.
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Notre vie va t-elle bientôt dépendre du pouvoir des espions ?
Comme
d'habitude c'est en pleine nuit, à la faveur d'un amendement
logé dans un recoin d'une loi cadre ou d'ordre
général que "la représentation
nationale" - qui prouve quotidiennement qu'elle ne l'est pas ! -
installe des coupe-gorge ou nous sommes
rançonnés, ligotés,
bâillonés ou vendus
à des prédateurs. Ce n'est pas une
vision aigrie, c'est un constat qui interroge sur les
véritables intérêts que
représentent en réalité - consciemment
ou pas - un bon nombre d' "élus"
derrière lesquels se profilent les ombres de lobbies
industriels et commerciaux, de réseaux discrets ou occultes,
de groupes d'influence religio-sectaire ou de promoteurs de la
société dictatoriale de Big Brother.
A l'évidence, c'est dans cette dernière
catégorie qu'a été puisée
l'inspiration
de donner la possibilité légale aux
espions d'avoir un oeil sur la situation
fiscale de chacun d'entre nous et donc sur
nos moyens de vivre. De ce fait, considérés
comme de dangereux terroristes
potentiels, ce genre de "contrôle"
confié à des agents naturellement
incontrôlables et
incontrôlés peut nous conduire
à subir les bavures que permet la liste noire
de
l'ONU. Par voie de conséquence, on peut aussi se
demander
si une volonté obscure n'a pas
actuellement l'intention de
mettre la France au diapason de la Russie dont les observateurs avertis
révèlent qu'elle est aux
mains des espions.
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Une grande rafle à venir aux Etats-Unis. Les camps sont prêts.
Le
30 mars 1933 les nazis inauguraient à Dachau le premier camp
de rétention pour y parquer les
politiques. Il fut agrandi en 1939 afin d'y
accueillir l'année suivante
une autre
population. On connaît la suite.
Au Etats-Unis - le pays de la Liberté - la mission
de ces quelques 600
camps d'emprisonnement à grande capacité - autre
terminologie
moins chargée que le terme concentration - n'est
certainement pas éloignée de celle de ses
modèles allemands, staliniens, cambodgiens
de l'ère Pol Pot ou chinois
actuels de la province de Jilin ou à Sujiatun. Le
fait que ces camps soient administrés par l'agence
spécialiste de la gestion des catastrophes - FEMA -
dont on a pu juger du rôle lors des inondations de la
Nouvelle-Orléans, laisse penser qu'un prétexte
quelconque est programmé visant à installer une
loi martiale permettant de rafler une grande
quantité de
gêneurs, d'indésirables ou de SDF
victimes de la politique économique. Pour le reste,
Guantanamo a prouvé ce que peut faire en toute
impunité un pouvoir dictatorial qui ne quittera pas la
scène avec le départ prochain de M.
Bush
Haut
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Les pouponnières de robots ne sont pas
loin, même si un peu de chemin doit encore être
parcouru pour envisager la construction d'écoles primaires
puis secondaires et universitaires. Nourris d'un biberon
composé d'une moitié de robotique et le reste
à part égale de neuroscience et de
nanotechnologie, les bébés droïdes
à visage de petits humains synthétiques sont
promis à un avenir prolifique. Déjà,
certains côtoient en copains
les bambins en couche-culotte de la crèche, histoire de les
habituer à leur présence. Au rythme où
vont les choses, il se pourrait bien qu'atteignant l'age
adulte, bébé robot ne soit demain le
spécimen docile et discipliné apte
à remplacer
la difficilement contrôlable
race humaine.
Haut
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L'extension du traçage va bon train. Quand
on commence à s'occuper des enfants, cela veut dire que les
parents sont déjà habitués et donc que
le système est définitivement en place.
En dehors du fait qu'on cherche en vain l'avantage en terme d'apports
culturel et d'intelligence - ce qui est la fonction de l'enseignement -
que peut amener le suivi derrière un
écran des déplacements d'un
élève dans l'enceinte scolaire, on est
obligé de constater l'égalité
de traitement avec les criminels. Si l'idée de cette
expérience a manifestement germé dans le
cerveau d'un malade dangereux pour l'humanité,
on est aussi certain que le concept n'est qu'une application de la volonté
politique de malades encore plus dangereux. Comme ces
derniers se répandent de plus en plus dans les
sphères des pouvoirs partout dans le monde, il faut
s'attendre à ce que cette
expérience rapidement validée soit
importée chez nous dans les prochains mois.
Conformément à la technique
éprouvée qui a fait ses preuves, quelques "faits
divers" violents commis par des gamins de 10/15 ans à
l'intérieur de l'école ou du collège
et bien mis en musique médiatique, serviront à faire
rapidement sauter les scrupules et la conscience des enseignants et des
parents les plus en perte d'autorité ... et d'amour.
Haut
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L'Internet selon le Pentagone: De la Toile qui relie au filet qui attrape.
Pour tous les pouvoirs dictatoriaux, le moindre
espace où la liberté d'expression, de
communication, d'échange et de partage existe un tant soit
peu entre les humains, représente un bouillon de culture
où les participants sont considérés -
sans qu'ils le sachent - comme des ennemis actifs. De
manière générale, le
contrôle de l'information et de la communication donne
aujourd'hui le pouvoir suprême. Dès
lors, si l'outil Internet constitue le meilleur moyen de communication
ouvert à tous, il s'avère aussi le plus
puissant agent de surveillance, de contrôle
et
d'identification
quand il est aux mains des émules des
Conducator, Duce, Caudillo ou Fürhrer. A moins que
d'être aveugle, corrompu ou un
sombre imbécile, il est difficile de pas voir cette
réalité actuellement et de tirer les
conséquences de la cause. Pour ceux qui sont
au nombre des optimistes
béats, il suffit de prendre connaissance
de ce rapport du Pentagone pour se
réveiller définitivement sur l'existence bien
réelle d'une volonté dictatoriale en train de
faire tomber ses ténèbres sur la
planète.
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Le fichage de tous les profils ADN, base de données préalable à la purification de l'humanité ?
Et
si les prélèvements ADN ne servaient pas
qu'à l'identification et au traçage des individus
? La question n'est ni anodine, ni stupide quand on rapproche la
manière et l'ampleur dont est
généralisé la collecte
systématique de nos
empreintes ADN de la connaissance de notre génome et de la
maîtrise
grandissante des manipulations génétiques.
En accédant à ce qui constitue le "code
personnel" de notre vie, ce n'est pas seulement le patrimoine
le plus
vital qui est inventorié et stocké,
mais aussi le
moyen de le modifier sélectivement comme le
démontre très bien cet article. Il n'y a pas si
longtemps, les adeptes mystiques et fanatiques de "l'homme supérieur"
avaient crée des "haras
humains" afin de produire leurs
spécimens après sélection des
géniteurs. Parallèlement ils avaient
entrepris de purifier les races par extermination de ceux des individus
qu'ils considéraient comme des sous-produits
abâtardis et
dégénérés de
l'humanité. La méthode était
empirique mais l'intention très
élaborée. Il se pourrait bien que cette intention
n'ait rien perdu de sa vigueur et qu'avec
l'appui inestimable du
catalogue global des profils ADN de tous les humains de la
planète, une méthode nouvelle ne parvienne au
succès de cette monstrueuse volonté.
Haut
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Cette info pourrait être une
blague. Ce n'est pas le cas. L'esprit fertile et surtout le réflexe
pathologique de l'espionite aiguë sont capables
de produire ce genre de solutions. Au passage on notera que la
fonction
des drones hors des champs de bataille n'est
décidément pas très
claire pour que leurs concepteurs soient
obligés de faire en
sorte qu'ils ne puissent jamais être visibles de la
population.
Solution pour solution, la prochaine fois que vous verrez un
détritus de bonne
taille à proximité immédiate d'une
prise électrique, n'hésitez pas à lui
balancer un grand coup de pompe. Avec un peu de chance il pourrait
être un de ces sombres
espions caméléon qui nous veulent du mal.
Voir aussi mes commentaires d'actualité sur le
sujet:
- Ca se passe en Belgique et
en Angleterre et ..... ça va venir en France.
- Le
procédé est moins discret que la puce
RFID embarquée, mais il prend des photos.
- Les
gardes-frontière prennent de la hauteur .. pour mieux te
voir mon enfant.
- Etat
de siège déclaré contre les citoyens.
- Le Chicoungougna de la République..
- Le
club des espions ailés s'agrandit. (avec petite
collection de vidéos)
- Le
drone, un principe à usages multiples mais à
finalité unique.
- Des
drones pilotés de très loin mais qui voient de
très près.
- Avec
le drone au Taser, le feu du ciel sera policier.
- Alerte
! Alerte ! Après le ciel et la terre, les drones envahissent
les mers
- Le marché des drones est en
pleine expansion. Devinez pourquoi.
-
Drones: De la surveillance passive au contrôle actif puis à la
répression... mortelle.
Haut
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Légalisation de la baignoire comme technique d'interrogatoire. Dans une dictature ? Non aux USA !
Il
y a peu de temps encore, la torture d'Etat était une
réalité dissimulée
parce que difficilement
défendable humainement et politiquement. Encombrante quand
elle est associée au maintien de l'ordre dans les colonies
ou
chez l'ennemi, et douloureuse quand l'occupant la fait subir,
elle alimente une bonne part du "cortège d'ombres"
dont parlait Malraux. En faisant rentrer officiellement et
légalement dans l'arsenal du renseignement la pratique de
la "baignoire",
les
Etats-Unis font mieux que les dictatures militaires
qui n'en sont même pas encore à faire la
publicité
de son usage courant. Si on n'était pas convaincu du caractère
profondément sanguinaire des croisés de l'ordre
et des prédateurs de l'humanité,
on pourrait se demander quelle est l'utilité des
systèmes
d'écoute, de surveillance et de traçage
ultra sophistiqués qu'on nous imposent au-delà du
cadre
de la lutte antiterroriste, s'il faut recourir à ces
tortures d'un autre age. Comme la torture n'est pas
réservée qu'aux militaires et aux temps de
guerre, il se
pourrait bien que l'autorisation d'usage de la baignoire,
couplé avec le prétexte terroriste qui fait de
chacun
d'entre nous un suspect potentiel, ne donne l'idée
d'équiper les commissariats américains de salles
de bains
appropriées. Vu l'alignement actuel de nos dirigeants
français sur l'administration américaine, le
risque d'un
retour des pratiques
du 93 rue Lauriston n'est pas négligeable.
Haut
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Dans le package du portable l'abonnement est payant, mais la surveillance policière est gratuite.
Le donnant-donnant
moderne n'est pas le troc ancestral, mais l'échange
d'un avantage contre un inconvénient plus ou moins visible.
La première particularité de ce deal
imposé par le possédant au
bénéficiaire réside dans le fait que
l'avantage correspond de plus en plus à une nécessité
vitale ou utile pour exister dans le système.
La seconde particularité révèle l'équilibre
instable entre le gain immédiat et les pertes dont les
effets sont ultérieurs. Dans quasiment
tous les secteurs de la société, ce type de
contrat à clauses non-dites régit les rapports
entre le possédant (ou dominant) et le
bénéficiaire qui en l'occurrence devient le
possédé (dans tous les sens du
terme).
L'exemple des téléphones portables est
édifiant sur cette réalité. Si la
fourniture du matériel et du service est un acte de commerce
classique, rien
n'est précisé à l'achat sur le fait
que l'appareil sert aussi à d'autres fins dont l'usage
appartient exclusivement au gardien de l'accès au service et
des organismes plus ou moins identifiables avec lesquels il entretient
des relations aussi serrées que confidentielles, sans
lesquelles d'ailleurs il ne pourrait probablement pas exercer son
commerce. Ainsi, en utilisant un portable ce n'est
pas uniquement le moyen de communication privé que
l'usager achète, mais aussi son traçage
géographique, la surveillance
de ses faits et gestes et de tous ses échanges. Par
la disproportion entre le service acheté - souvent par
nécessité ou par tentation de ne pas
être marginalisé - et l'importance de la face
cachée
contenue dans le "package" non
déclaré à l'achat,
apparaît ce fameux donnant-donnant
implicite : Portable
contre mise sous surveillance constante, Accès
aux moyens de communications privées contre abandon de la
vie privée et donc de la liberté. Il
n'est pas besoin d'être paranoïaque pour constater l'aspect
pervers de ce genre de contrat, la manipulation
qui l'anime et les raisons qui expliquent les moyens mis en oeuvre pour
équiper tous les citoyens - jeunes et adultes -
de ce qui s'avèrera de plus en plus être un redoutable mouchard
et un formidable gardien de prison.
Le fait que le patron du premier opérateur chinois de
téléphonie mobile fasse la confidence
publique de la véritable
finalité sociale des portables à
l'occasion de la réunion annuelle des artisans du
nouvel ordre mondial dans un de leurs temples les plus
symboliques, n'est probablement pas un hasard ou une
bévue. Au rythme où le modèle policier
chinois inspire les dirigeants des démocraties occidentales
et où son industrie est en capacité de fournir au
monde des gammes de portables à bas coût, il n'est
pas inutile d'avoir
conscience des conséquences du donnant-donnant
implicite qui accompagnent les quelques euros ou dollars du prix de la
tentation.
Haut
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Le Mind Control direct et à distance, instrument suprême de Big Brother.
La
prise
de contrôle du cerveau de l'être humain
est
une
étape
décisive vers sa robotisation totale. Comme le
domaine militaire offre à la fois le secret de ses
organisations, la faible considération pour la vie humaine
et la
culture de l'usage de la chair à canon, c'est toujours
là
que les recherches et les expérimentations
les plus
sordides sont menées. On ne sera donc pas
étonné
que le projet de lecture/évaluation via le cerveau
des
capacités physique, émotionnelle et de
réactivité soit en premier testé
sur le soldat,
cobaye obligé si ce n'est consentant.
Depuis les années 30, les programmes
de mind
control ont exploré beaucoup de pistes,
notamment la déprogrammation par injections massives de
barbituriques, électrochocs et drogues hallucinatoires
suivis d'une reprogrammation. C'est le cas du
célèbre projet de la CIA, MK Ultra (documents en partie
déclassifiés) dont quelques films ont
abordé l'existence et les différentes
expérimentations *.
Avec cette "avancée" technologique permettant de lire
à distance et directement dans le cerveau, nul
doute que les travaux antérieurs vont y trouver un moyen
déterminant pour parvenir
à la manipulation optimale de l'esprit.
En lisant
puis en influant directement sur les pensées -
via par exemple des implants sous-cutanés RFID
- de n'importe qui, il sera facile de faire faire exactement ce
que l'on veut à un individu
transformé en exécutant docile, voir
en bombe humaine s'il le faut.
On imagine assez bien le profit à tirer dans le
domaine civil qui l'est d'ailleurs de moins
en moins, non seulement sur le registre
des manipulations, mais aussi sur celui de la sélection
et donc de l'élimination.
La société du Big
Brother n'est pas qu'un monde
sécurisé et anesthésié,
c'est surtout une organisation
où l'homme est muté en fourmi travailleuse
dont l'existence est interrompue lorsqu'elle ne satisfait plus
aux critères d'efficacité.
* Eyes Wide Shut, Conpiracy - Le
complot, The bourne Identity, James Bond - Au service
secret de sa Majesté, etc...
Haut
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Pentothal électronique et scanner émotionnel pour détecter les meilleurs ...robots humains.
Au
royaume des illusions, seul le système global aura
bientôt le droit d'en produire. Les plus
doués pour l'esbroufe, le mensonge, l'empathie et le travail
de l'image qui correspondent tant au profil adéquat pour
briller dans la société
d'aujourd'hui vont certainement commencer à
sérieusement stresser quand on va les équiper du
système mis au point par Microsoft pour détecter
toutes les émotions. Le sourire
carnassier du cadre dynamique n'impressionnera plus son
interlocuteur si celui-ci sait que son
trouillomètre est à zéro et le visage
assuré de l'élève ne
détournera pas l'attention du prof si ce
dernier constate au moment de choisir la cible qui devra
passer au tableau que son degré d'angoisse trahit un
pathétique "Pas
moi ! Pas moi !".
Cependant, ne nous y trompons pas, la fonction principale de ce
Pentothal électronique n'est évidement pas de
faire tomber les masques des tricheurs et encore moins d'optimiser les
cobayes, mais de conduire
à la sélection de ceux dont le degré
émotionnel est proche de zéro dans la
majorité des situations. Comme par ailleurs
cela va de pair avec l'absence
de conscience et une grande aptitude
à la servilité pour le prix d'un sussucre, nul
doute que Microsoft va arrondir sa fortune en équipant tous
les rationalistes de la gestion du capital humain à la
recherche de bons robots, et pas seulement dans le cadre de
l'entreprise.
Haut
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Annonce de bavures à venir avec "l'arme anti-bavure", le Taser X26.
"Les plus dangereux dans la
société sont ceux qui sont armés. Ce
n'est pas ma faute si ce sont les policiers qui sont les plus
nombreux" disait à peu prés Coluche
avec le bon sens désarmant qui marque la vraie intelligence.
Maintenant équipés du Taser X26, "l’arme anti-bavure par
excellence" selon son fabricant, les gardiens de l'ordre
désormais travaillant aux quotas, vont avoir la
possibilité de faire
des étincelles sur les citoyens récalcitrants
sans risquer le carton sanglant et la bavure pour cause d'absence de
légitime défense. L'arme
à létalité
réduite - doux
euphémisme employé depuis qu'un nombre
significatif de morts identifiés a
rappelé qu'une décharge de 50.000 volts c'est pratiquement
la chaise électrique - serait en effet plus
proche de
l'instrument de torture
selon l'ONU que du flingue expéditif. Compte tenu de cette
réalité, la formation au rabais des utilisateurs,
décidée par le ministère de
l'intérieur, risque fort d'augmenter la
potentialité d'issue
fatale pour un bon nombre de tasés, surtout si
le joujou est laissé à disposition de
fonctionnaires far-westophiles ou émules
du KKK adeptes de l'expulsion d'étrangers sans
reconduite à la frontière.
Haut
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Traquer ces sujets du Net que je ne saurais accepter.
L'éternel problème de
l'opposition entre liberté et sécurité
n'existe que dans la réflexion philosophique des partisans
d'un ordre autoritaire (quel qu'en soit sa couleur) et dans le discours
politique des dirigeants au pouvoir (quelle que soit la coloration de
leur parti). Quand cette opposition interpelle le citoyen,
c'est pour une raison inverse qui relève du constat
que la notion sécuritaire restreint ou étouffe
clairement la liberté.
Il ne faut donc pas voir dans ce "tri"
des bons et des mauvais sujets diffusés sur Net
autre chose que la volonté
de faire disparaître tout ce qui est susceptible
d'éveiller l'internaute citoyen sur la
réalité de la mise en place d'un pouvoir
autoritaire. La méthode elle-même
relève de l'autoritarisme dont l'utilisation de
prétexte ne résiste jamais à l'analyse
de cohérence. Ainsi, la présence sur la
Toile de recettes de fabrication d'explosifs qui inciterait comme par
enchantement à devenir terroriste ne tient pas la route
puisque d'une part ce genre d'information est à la
portée de n'importe qui pour le prix d'achat d'un livre de
physique ou de chimie, et que d'autre part, la visite des sites n'est
imposée à personne.
De toutes façons, il n'y a aucun risque à
prédire qu'une
fois installé le système policier de traque, la
liste des sujets et donc des sites qui les offrent à la
réflexion de leurs visiteurs, sera augmentée sans
fin, comme c'est devenu la technique pour l'extension
des publics devant subir les
prélèvements d'empreintes Adn ou se trouver
fiché au titre de
délinquant.
Haut
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En route vers le fichier mondial des habitants de la planète.
Du fichage des terroristes connus (par qui ?) nous
sommes passés au fichage des terroristes
potentiels puis à celui des terroristes
probables, et maintenant à celui des
délinquants, sans pour autant qu'une définition
raisonnable de la relation entre ces catégories ait
été donnée. Mais n'est-ce pas
une commodité pour permettre d'étendre ce fichage
à l'ensemble de la population ?
De fait, la phase de
recensement réalisée à
l'échelon national de quasiment tous les pays du monde avec
les approximations que l'on connaît en terme de
critères de choix parfois loufoques, parfois politiques,
s'enrichie du développement
de beaucoup d'autres fichiers concernant tous les individus.
Le croisement de l'ensemble aboutira à une base de
données dans laquelle nous serons à
l'évidence tous encodés comme les terroristes
connus, potentiels et probables et les délinquants, avec
comme identifiant nos caractéristiques
biométriques et surtout notre code
génétique ADN.
Si à son échelon, l'Europe est en train de
réaliser cette fusion d'informations - c'est à
dire les nôtres - entre ses Etats membres grâce
à l'espace Schengen et avec la
bénédiction empressée de nos
dirigeants, on ne voit pas ce qui la retiendra de les partager
avec le
grand ami américain. On sera alors
extrêmement
loin
des motifs de la lutte anti terroriste. Mais est-il
encore besoin d'utiliser ce motif ?
Haut
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Barbelés électroniques pour empêcher de rentrer ou de sortir ? Les deux, Mein Furhër !
Les rescapés des camps - juifs ou pas -
qui ont été l'une des cautions les plus
importantes et symboliques justifiant la création
de l'Europe synonyme de fin des conflits meurtriers,
des hégémonies et des fascismes, ne savaient pas
qu'ils servaient
une cause qui allait permettre, tel un cheval de Troie, de
mettre en place une infrastructure, des instruments et une politique
dont auraient
rêvé leurs bourreaux. Quant
à ceux qui ne sont pas revenus des camps, leur
mémoire est en train de servir
à habituer nos enfants - et nous-même -
à l'acceptation de barbelés et de miradors
électroniques qu'aucune pinces coupantes ou
tunnels ne peuvent aider cette fois à franchir.
Par une logique implacable mais pourtant prévisible, ce
déploiement de moyens vient en éclairage de la
fin des souverainetés nationales
scellée par l'instauration en force d'une
constitution européenne. A ceux pour qui les enseignements
de l'histoire sont sélectifs et à ce
titre représentent uniquement des symboles
pour justifier le présent qui prépare l'avenir,
il est nécessaire de rappeler qu'avant
d'enfermer des gens dans un camp d'internement, on commence par
construire les murs, poser les barbelés et former les
gardiens.
Par voie de conséquence,
dès que l'idée même de
réaliser ce genre d'infrastructure germe dans le cerveau de
dirigeants, on est certain de l'usage futur qui en sera fait. Tout
comme on peut être certain de n'avoir aucune
possibilité
d'empêcher les sinistres besognes qui se pratiqueront
à
l'intérieur, que nous soyons aux premières
loges ou
à l'extérieur.
Haut
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Lois d'exception: Du provisoire qui restera. Est-ce une surprise ?
Le principe des lois
d'exception
est d'être instaurées à titre
provisoire alors que la constante historique montre qu'elles ne sont
abrogées
qu'à la chute - souvent violente - de ceux
qui les ont mises en place. De ce fait, on peut
considérer
que dans l'esprit de leurs concepteurs leur vocation
est
d'être
définitives.
Celle du 23 janvier 2006 relative à
la lutte
contre le terrorisme ne déroge pas à la
tradition.
L'annonce de sa prorogation pour 4 ans n'est donc une surprise que pour
les naïfs, les optimistes et ceux
qui croient encore à la corrélation
entre le terrorisme et les mesures qui sont prises
sous le prétexte de le contrer.
Dans la réalité,
l'évidence pousse à constater
que ces
mesures visent en fait tous les citoyens, notamment les
dernières autorisées par cette loi reconduite,
comme la possibilité donnée aux
policiers
et agents de renseignement d'obtenir - sans
aucun
contrôle d'opportunité -
l'identité
d'internautes et d'abonnés à la
téléphonie mobile, le détail de leurs
communications et
leur géolocalisation. Ajoutées à la
vidéosurveillance massive, aux écoutes
téléphoniques, aux fichages ADN
et biométriques, aux étiquettes RFID ou
à la kyrielle des systèmes de
contrôle, l'ensemble
n'a plus rien de cohérent, de proportionné
ou de ciblé par rapport à un risque terroriste
*.
Par contre,
ces lois
d'exception
montrent toujours une vraie cohérence dans
l'optique de la mise
en place d'un dispositif répressif qui
est inévitablement nécessaire au pouvoir
dirigeant lorsque l'ensemble de
la population devient convaincue d'être
aussi la cible de ses politiques et de son mépris.
Tout ceci ne serait donc une fois de plus et sur une
échelle
jamais atteinte, qu'une mise en
scène
dissimulant la constitution
d'un arsenal pour réprimer dans
un
futur proche, une opposition populaire disposée
à
recouvrir sa souveraineté ?
Dans une prophétique déclaration, M. Charles
Pasqua, le
père moderne des lois d'exception à la
Française
annonçait vouloir "terroriser
les terroristes".
En éclairant les mots de leurs origines, ne serait-ce pas la
clé pour comprendre ce qu'entend le pouvoir actuel
par terroriste et les raisons pour lesquelles ce sont des innocents que
visent les attentats ?
En effet, les
premiers
terroristes furent les conventionnels de
septembre
1793
à juillet 1794, dont les missions en province
étaient destinées à ancrer
la
république en "terrorisant" les
opposants
considérés comme des ennemis du peuple.
Puis, le premier groupe appelé "terroriste"
fut certainement celui la
"Narodnaïa Volia" fondée en 1878,
réunissant
des
constitutionalistes russes qui s'opposaient à
...l'autocratie
tsariste. Plus tard, le terme sera employé par l'occupant
nazi
pour qualifier la rébellion populaire à
son pouvoir
hégémonique, et utilisé de la
même
manière et dans des circonstances similaires par les
occupants
colonialistes confrontés aux révoltes des
colonisés.
Dès l'origine, le "terrorisme"
est donc associé à la défense
populaire de la
république ou, à tout le
moins, à la souveraineté d'un Peuple face
à un
pouvoir autocratique, dictatorial, militaire ou
illégitime. Le vrai
terrorisme ne visait donc physiquement que des responsables et non des
innocents.
Pourquoi
les attentats actuels qui sont le prétexte aux lois
d'exception ne visent-ils que des innocents ? Cherchez
l'erreur.
* Le bon
sens montre par ailleurs que les dirigeants s'évertuent
à
créer les conditions d'existence du terrorisme qui est
mécaniquement une réponse
ultime à leur politique, à leur
méthode de gouvernance et à leurs
mépris pour des
communautés, des populations et des citoyens.
Haut
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Le fichage biométrique pour un contrôle sélectif de tous les déplacements et de tous les accès ?
Le
fichage à base de biométrie fait son chemin
partout à marche forcée, comme si les dirigeants
des principaux pays du monde agissaient, non en fonction d'une course
technologique, mais en raison d'une volonté
de s'aligner sur une uniformisation mondiale du fichage des individus.
En effet, le prétexte sécuritaire
lancé avec l'effondrement du World Trade Center ne suffit
pas à expliquer rationnellement ce mode
inquisitorial, systématique et exorbitant de
filtrage des déplacements transnationaux, alors
même que le
système des visas garanti au pays accueillant la
procédure d'acceptation ou de refus du migrant.
Il s'agit donc là aussi d'un prétexte pour
parvenir rapidement à constituer une base de
données mondiale exhaustive ou les
caractéristiques biométriques de chaque
humain serviront à la fois d'identifiant et de
traceur permanent, et de clés d'entrée
à l'ensemble des données le concernant. Par voie
de conséquence, il se pourrait bien que la notion de
contrôles aux frontières - actuellement nationales
- ne se transforme, dès que le système sera
mondialement installé, en une multitude de zones
à accès contrôlé
à l'intérieur même des territoires, des
villes, des bâtiments, etc... aboutissant aux parcages
sélectifs des humains dont les
déplacements et les accès seraient
conditionnés par la race, la hiérarchie sociale,
la taille, la couleur des yeux, le profil psychologique, etc... suivant
l'humeur ou la mystique des maîtres de la
planète.
Haut
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Avec le drone au Taser, le feu du ciel sera policier.
La
famille des droïdes déjà bien fournie ne
pouvait pas passer à coté du mariage
du drone avec le Taser X26, le fameux joujou
presque non mortel qui vous transforme en une
étincelle en smurfeur parkinsonien
hystérique puis en légume et parfois en cadavre.
C'est chose faite avec ce prototype policier qui entrera en
service opérationnel en 2009.
Porté sur les fonds baptismaux à l'occasion du
congrès de l'UNSA-Police, un syndicat policier maison dont
on se demande si la promotion de ce type de
matériel rentre bien dans les attributions syndicales, il
est promis à un bel avenir notamment dans la dispersion
des attroupements citoyens, des manifestations ou toutes autres
expressions populaires spontanées ou pas.
Pour preuve, sentant qu'il est nécessaire d'enrober
le lancement du droïde volant tireur de foudre d'une
de ces perles dont sont friands les humanistes de l'ordre
militarisé, M. Henri Martini, le
secrétaire du syndicat, a prévenu que
l'usage du Quadri
France devrait être aussi "garant des libertés
individuelles". Une chose est sure cependant,
la nouvelle race des humoristes policiers va
électriser les foules.
Voir aussi mes commentaires d'actualité sur le
sujet:
- Ca se passe en Belgique et
en Angleterre et ..... ça va venir en France.
- Le
procédé est moins discret que la puce
RFID embarquée, mais il prend des photos.
- Les
gardes-frontière prennent de la hauteur .. pour mieux te
voir mon enfant.
- Etat
de siège déclaré contre les citoyens.
- Le Chicoungougna de la République..
- Le
club des espions ailés s'agrandit. (avec petite
collection de vidéos)
- Le
drone, un principe à usages multiples mais à
finalité unique.
- Des
drones pilotés de très loin mais qui voient de
très près.
- Drone
caméléon anémique.
- Alerte
! Alerte ! Après le ciel et la terre, les drones envahissent
les mers
- Le marché des drones est en
pleine expansion. Devinez pourquoi.
-
Drones: De la surveillance passive au contrôle actif puis à la
répression... mortelle.
Haut
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Alerte ! Alerte ! Après le ciel et la terre, les drones envahissent les mers.
Si les drones sont aujourd'hui assez discrets à notre vue, la logique veut que leur présence permanente se fasse progressivement de plus en plus visible afin de maintenir nos vies dans un état de peur constante, ce qui est le meilleur moyen pour nous asservir à un système de fourmis. Leur importance est donc capitale dans le dispositif qui est en train de s'installer sur la planète entière pour surveiller et encadrer les populations. Comme leur vocation est en effet de patrouiller tout le temps et partout, ils ne vont pas seulement peupler notre ciel et le raz du sol avec leurs versions policières robotisées, mais aussi quadriller les mers et en particulier investir les côtes qui sont avant tout des frontières. Comme d'habitude, les versions militaires et scientifiques de ces drones marins précéderont les applications de police "civile" dont on peut parier que d'ici seulement quelques mois les médias nous vanteront leur mérite dans l'interception d'une livraison de drogue puis dans l'arrestation de dangereux clandestins entassés dans une chaloupe pour fuir la misère et la dictature.
Voir aussi mes commentaires d'actualité sur le
sujet:
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en Angleterre et ..... ça va venir en France.
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procédé est moins discret que la puce
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finalité unique.
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très près.
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caméléon anémique.
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le drone au Taser, le feu du ciel sera policier.
- Le marché des drones est en
pleine expansion. Devinez pourquoi.
-
Drones: De la surveillance passive au contrôle actif puis à la
répression... mortelle.
Haut
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On oublie que la carte nationale
d'identité française est une création
récente qui remonte à... l'occupation
et qui n'a pas été supprimée
ensuite. Dans la plupart des pays elle n'existe d'ailleurs pas
ou en tous cas
sous la forme française. Cependant, la mise en
place de la surveillance
globale et permanente de nos déplacements qui
est une réalité, oblige à habituer
chaque citoyen à posséder sur lui
un identifiant du type de la carte
d'identité française. Aux Etats-Unis ou la
réticence à la carte d'identité tient
au fait qu'elle est considérée comme une
intrusion dans la
vie privée et qu'elle est perçue
à juste titre comme porteuse des abus
d'un 'expression d'un état policier, la tache
semble consister dans un premier temps à
affecter
à chaque citoyen un identifiant sous une forme
numérique
unifiée puis à l'obliger
à en justifier à n'importe quel moment.
Du fait de la structure fédéraliste
américaine, seul le permis de conduire permet de
réaliser cette opération, sans oppositions
majeures de la part de la population. Une fois cette étape
franchie, ne doutons pas que le permis de conduire se transformera
très rapidement en
carte à puce pour se muer aussi vite en implant
sous-cutané, lequel sera un
véritable ausweis permettant ou non les
déplacements. Le 11 septembre aura aussi servi
à cela, même s'il apparaît
maintenant aux yeux du plus grand nombre des
américains comme une vaste
opération préméditée
destinée à justifier la privation des
libertés et à la carcérisation de la
population.
Haut
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Reynard prépare la traque scientifique des "comportements déviants" ....du système.
Dans le droit fil des inquisiteurs, le
rêve des "socio-psychiatres" staliniens, maoïstes ou
nazis
a toujours été de fixer un standard des
comportements applicable à chaque individu afin de
séparer les "corps
sains" des "cellules
malades". Ce sont eux qui ont offert la solution des camps
de rééducation, des goulags
ou des internements
psychiatriques, aux "grands timoniers" qui voulaient se
débarrasser des rebelles ou de ceux qui
n'étaient pas spontanément enthousiastes
à la pratique du culte du chef. La race de ces vrais
malades dangereux ne s'est pas éteinte avec la
disparition des pervers
névrosés dont ils servaient la folie
au siècle dernier. C'est même tout le contraire
puisque d'autres névrosés, encore plus pervers,
leur offrent aujourd'hui un champ d'investigation et d'application
à l'échelle de l'humanité parce qu'ils
redoutent qu'elle refuse de se plier à l'adoration
de leur immense ego et à la misère de
l'asservissement qu'ils lui préparent. Grâce
à la surveillance
en temps réel de tous les échanges sur Internet
ou par la téléphonie et l'apport
politique des lois d'exception motivées par le
11 septembre, ce sont nos mots et donc nos pensées
qui détermineront
d'ici peu notre classement individuel dans
la catégorie des bons
sujets ou des
déviants, avec toutes les
conséquences que cela implique En effet, il ne faut pas
être doué d'une grande logique pour comprendre que
les outils permettant la "recherche
des terroristes potentiels en identifiant les comportements normaux ou
déviants" aboutiront
rapidement
à "isoler" ceux qui n'acceptent pas le destin
truqué, ceux
qui se posent des questions, ceux
qui possèdent un peu de gène humain
ou ceux
qui
manient le bon sens. Comme la
notion de terroriste contient tout ce que l'on veut y mettre
et qu'il est aisé de programmer un ordinateur comme
le STAR ("The System to Assess Risk"),
le repérage des
sujets sensibles qui prêtent à
réflexion ou les mots jugés porteurs de
déviance comme conscience, recherche, mensonges,
etc.... servira à dénoncer leurs auteurs
ou leurs lecteurs comme terroristes potentiels. Sachez donc, chers
lecteurs, que si vous trouvez un peu d'intérêt
à parcourir les textes de ce site, vous
n'échapperez pas bientôt au diagnostic de
déviance que prononceront doctement les neo-Mengele de la
société idéale.
Haut
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L'usage de la loi pour tordre le cou aux principes essentiels et... aux citoyens.
Dans
toutes les sociétés à visage humain,
la loi doit être la simple
traduction de principes humanistes essentiels, justes, voulus
et acceptés
par tous. A ce titre elle est garante
de l'intégrité et de la
liberté individuelle ainsi que de
l'équilibre et de
la pérennité de la
société. Comme les principes essentiels -
non-atteinte à l'intégrité physique et
morale de la personne, non-spoliation individuelle ou
collective, vol, trahison, forfaiture, etc... - sur lesquels
elle s'appuie sont universels et intemporels, la loi
ne peut être pléthorique et ne saurait
être que très rarement modifiée
pour moduler les sanctions qu'elle définit en fonction des
conséquences, de la qualité ou des moyens
utilisés par ceux qui la transgressent.
Or, quand la
loi prédomine sur les principes intemporels
qui l'ont fondée originellement, elle se
transforme en règlement dont on sait qu'ils
sont des instruments
de gouvernance. Ainsi, en agissant sur le curseur
qui détermine ce
qui est légal de ce qui ne l'est pas, n'importe
quel pouvoir peut transgresser ces principes fondateurs.
De cette manière il est possible d'envoyer
en prison un voleur de pomme et de rendre
simultanément légale la corruption
qui spolie des individus et détourne le bien public.
Tout particulièrement depuis le 11 septembre, le
motif sécuritaire a permis aux pouvoirs dirigeants
d'instaurer une série de lois qui violent fondamentalement
les principes essentiels des sociétés humaines,
sans pour autant qu'elles prouvent un tant soit peu leur
efficacité au regard des prétextes officiels qui
les justifient. Le Fbi peut donc user à loisir de
la violation du principe de la vie privée puisque
la "National
security Letters" lui permet de le faire et que d'autres
lois lui ont donné tous les moyens policiers pour embastiller
par la force les citoyens qui ne lui plaisent pas. Dans la
pratique, il n'y a donc aucune sanction possible au fait que
le Fbi s'occupe de la vie privée des citoyens
puisque le viol des principes de liberté et du respect de
l'intégrité n'est plus qu'une notion
philosophique
que la loi ignore.
Nous avons cependant une part de responsabilité dans la mise
en place de ce garrot mortel car nous n'avons pas
réagi lorsqu'à été
imposée la sacralisation des lois qui rangeait les
principes fondamentaux au rang de symboles ou de sujets
pour débats philosophiques. Combien de lois
liberticides ou injustes ont été
instaurées sans que les rues ne se noircissent du rejet
populaire et que la "désobéissance
civile" les rendent immédiatement
nulles et non avenues ? Combien ont été entendu
lorsqu'ils rappelaient qu'aucune
loi n'est supérieure aux principes essentiels de survie de
l'humanité et de l'individu ? Et combien encore
ont été crus quand ils démontraient
récemment que les
lois sécuritaires étaient incohérentes
par rapport à l'objectif, mais parfaitement
adaptées pour mettre le citoyen innocent sous surveillance
?
Les atteintes à la vie privée et à
l'intégrité du citoyen
révélées aux Etats-Unis sont aussi une
réalité ailleurs et particulièrement
en France ou l'enchevêtrement
des lois, la facilité pour le pouvoir d'en
décréter autant qu'il en souhaite
et leur puissance en tant qu'instrument de
gouvernance, permettent de tuer
définitivement les principes rappelés
par l'esprit des Lumières et de transformer
le citoyen en prisonnier qui s'ignore. Il est
donc vital de se rappeler que la légitimité des
lois - et celle de ceux qui les instaurent - n'a de valeur
qu'au regard du respect des principes fondamentaux qui font de la
société un espace d'humanité et de
liberté.
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Quels que soient les arguments qui
étayent les
propositions de l'incontournable spécialiste de la
sécurité - Alain Bauer - on
décèlera dans le rapport qu'il vient de rendre
sur la veille sécuritaire, la volonté
d'introduire dans l'organisation française de la
sécurité un dangereux principe typiquement
américain, celui des agences
gouvernementales. Aux Etats-Unis, ces agences sont des
entités indépendantes, investies
de missions publiques mais largement inspirées par les
lobbies qui
y ont leurs fauteuils. Elles sont
donc communément considérées
comme
exerçant
le véritable pouvoir. Par exemple, c'est par ce
biais que le lobby militaro-industriel américain conduit la
politique d'armement et influe sur les positions de la politique
étrangère des USA, ce dont avait prévenu
avec angoisse le président Eisenhower en forme
d'avertissement solennel lors de son discours d'adieu
du 17 janvier 1961.
Ainsi, en préconisant clairement "d'ouvrir
les
bras au secteur privé au nom de la
"sécurité globale" " et en ne
faisant dépendre la nouvelle entité - Conseil
supérieur de la formation et de la recherche
stratégique - que du plus haut sommet de l'Etat - donc
dépourvue
de contrôle démocratique
- c'est un véritable copier/coller des
agences américaines que souhaite à
l'évidence installer en France
Monsieur Bauer.
Ce constat invitera à consulter son parcours et à se
rappeler en guise
d'éclairage sur la philosophie profonde qui semble l'animer
qu'il a effectué en 1993 un passage par la SAIC
- considérée comme la "vitrine" des services
spéciaux US et le
sous-traitant de ses besoins - dont il a d'ailleurs
été
vice-président pour
l'Europe. On comprendra mieux ainsi pourquoi le
dispositif sécuritaire français va probablement
quitter le giron de la puissance publique et du contrôle
démocratique pour réaliser
la militarisation de la sécurité et ouvrir la
porte à la privatisation du maintien de l'ordre sur le
modèle d'une entreprise privée de mercenaires du
type Blackwater
.
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La puce RFID, sans elle rien ne sera bientôt plus possible.
Dès que les caractéristiques
de la RFID ont été connues et que
la recherche technologique a prouvé la
possibilité
de développer ses capacités de stockage,
de lecture
et d'interactions, il était assez facile de
prédire son bel avenir dans tous
les secteurs ou le traçage est de mise, c'est à
dire... partout. De plus, le fait qu'elle ait
été conçue
initialement dans les laboratoires militaires
rendait cette prédiction encore plus certaine puisque depuis
environ un siècle c'est là que se
prépare tout
ce
qui servira à la "bonne gestion civile" de la
société et des populations. La RFID
est donc maintenant rentrée dans les
mœurs, non seulement comme outil de base de gestion de la
plupart des
entreprises importantes, mais aussi dans l'esprit des citoyens via la
kyrielle des
cartes à puce. Ce cap psychologique étant
passé,
on peut à présent prédire qu'elle va s'incruster
très rapidement dans tout ce qui est
amené à se
déplacer,
à être vendu ou échanger,
de sorte que sans elle... rien ne sera probablement plus possible.
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A qui profite le plus l'analyse de notre comportement par les moteurs de recherches ?
Alors que sous prétexte de faire la
chasse aux spams publicitaires une
série de lois répressives sont
sensées préserver les internautes des messages
non sollicités, voilà que les
principaux moteurs de recherche du Net se lancent dans
l'établissement du portrait
comportemental de chaque internaute à partir
des informations qu'il recherche ou des sites qu'il visite, pour mieux
cibler... l'envoi de publicités. Au passage, on notera que la
collecte et l'utilisation de ces informations
éminemment personnelles et privées
servant à tracer notre profil individuel s'effectue sans
que nous en soyons informés et
évidement sans
notre accord. De toutes façons, au point
où en sont rendus Big Brother, la
liberté individuelle, et la volonté des
dirigeants politiques de surveiller les citoyens, ce
genre de viol de la vie privée devient d'une sinistre
banalité.
Cependant, derrière le prétexte publicitaire, se
dessine naturellement une
autre application en phase avec la gestion sociale made
in Big Brother de ce vaste programme qui n'est rien
d'autre que l'élaboration du portrait
psychologique de chaque internaute, c'est à
dire de quasiment tous les citoyens. En effet, en connaissant nos
centres d'intérêts, nos recherches et nos
habitudes, il est facile de cerner rapidement notre
degré d'acceptation du système, notre
volonté d'en comprendre la marche et le but, et nos "failles
individuelles" si utiles à la manipulation ou à
l'isolement s'il devient nécessaire.
Ce dernier point pourrait être jugé
paranoïaque si une "passerelle" permanente n'existait pas
entre les opérateurs
de communications électroniques -
appellation suffisamment floue pour y englober notamment les moteurs de
recherche sur Internet - et les services chargés de la
surveillance et du contrôle des citoyens. En effet, ces
opérateurs figurent dans la
liste - non approuvée par la Cnil -
fixée par le décret n°2007-1538 du 26
octobre 2007 en application de l'article 60-2 du code de
procédure pénale qui instaure l'obligation
pour ces organismes de mettre les données qu'ils
détiennent à disposition des autorités
judiciaires - et donc policières et de renseignements
-
par voie
électronique, c'est à dire directement
consultables à la source.
Surfez braves gens, Big Brother veille sur votre santé
mentale.
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Mise en place opérationnelle des très inquiétantes grandes oreilles de l'administration judiciaire.
En
octobre 2006, je commentais un article qui annonçait la
volonté du ministère de la Justice de mettre en
place une
plate-forme d'écoutes. Aujourd'hui, sa mise en marche
opérationnelle vient donc d'être officiellement
annoncée. L'étendue de ses moyens et des
données
collectées est impressionnante - les
voix, les images, les données de connexion, les dates et
heures
d'appels, le contenu des SMS, des mails et de toutes les communications
circulant sur le Net, la géolocalisation, etc...
Rattachée au secrétariat
général du
ministère de la justice, c'est à dire au pouvoir
en
place, elle sera accessible sans
vérification de l'opportunité des recherches
(!) qui
resteront confidentielles (!). Pourquoi ce formidable outil
de basse police stalinienne
dépourvu de contrôles des contenus
collectés, des
véritables motifs de consultation et de l'utilisation
est confié à l'administration de la Justice ?
Tout
simplement parce que la légitimité, la fonction
théoriquement honnête, le pouvoir
supérieur et la
fonction suprême de dernier rempart de la
république
démocratique qu'elle représente pour les citoyens
permettent de jouer sur la "confiance" et d'imposer
à la fois le système de surveillance permanent et
l'impossibilité d'obtenir condamnation de ses abus.
Allez-donc saisir la Justice pour des injustices dont elle est
responsable !
Voir mon article Contrôle:
Automatisation
des écoutes
téléphoniques par la Justice
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L'humanité entière bientôt sous contrôle total d'un KGB planétaire.
Que celui qui trouve des raisons
honnêtes à la collecte
systématique et planifiée d'informations
personnelles concernant chacun des habitants de la Terre
n'hésite pas à les donner. Il lui faudra
beaucoup d'imagination et user de l'hypnose pour convaincre
à l'optimisme béat et gommer le
sentiment de sombres
intentions derrière cette monstrueuse
banque de données mondiale. Compte tenu du volume
gigantesque des données compilées
et de l'ampleur
des domaines pris en compte, nous sommes
évidement très très loin des
prétextes sécuritaires avancés pour
justifier ce qui n'est rien moins qu'une mise sous KaGéBisation
de l'humanité entière. Devant cette
évidence, la question vitale que tout humain conscient des
ténèbres qui lui sont promises devrait se poser,
est de chercher qui détient
cette base de données et va s'en servir, et
d'imaginer l'usage
imminent qui va en être fait. Les
réponses donneront certainement le type de
société qui arrive et le profil de ses
maîtres.
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Un nouveau satellite espion pour trouver Bin Ladin. Interdit de rire !
Si un jour devait être
établie la liste
des actions et des décisions prisent sous le
prétexte de lutter contre Al Qaïda ou de mettre la
main sur le fameux Bin Ladin, nous serions
stupéfaits pas sa longueur. Si on ajoutait à
cette
liste une colonne comptabilisant les sommes
dépensées pour réaliser ces
décisions - avec tous les frais induits - le
vertige serait au rendez-vous. Des investissements massifs dans la
vidéosurveillance aux dépenses militaires pour
faire les
guerres d'Afghanistan ou d'Iraq - avec bien sur le prix de leurs
dommages - en passant par le coût des infrastructures
d'écoutes, de traçage et de collecte
d'informations sur tous les habitants de la planète,
jusqu'au lancement de ce satellite (et ceux qui n'ont pas fait l'objet
de publicité), on n'en finit plus d'ajouter des milliards
à d'autres milliards pendant que la misère pointe
le bout de ses haillons un peu partout dans le monde et vient frapper
à la porte des classes sociales qui pensaient en
être immunisées. Au fond, c'est peut
être la clé de cette histoire qui a pris son envol
dans la chute opportune des tours du World Trade Centre: Un prétexte
pour investir des sommes faramineuses dans le contrôle des
populations tandis que l'autre mâchoire de l'étau
nommée mondialisation économique les spolie de
leurs biens, de leur travail et de leurs ressources. Je
ne serais pas étonné que le jour ou
l'étau tiendra définitivement bien
serrée l'humanité, on apprenne le lancement d'un
satellite baptisé Bin
Ladin, en hommage à celui
qui a tant été utile à la
Cause.
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Au travail comme ailleurs, la peur d'être surveillé est aujourd'hui une saine paranoïa salutaire.
Pendant l'occupation, le slogan "
Attention ! Les murs ont des oreilles" sonnait
comme un conseil
salutaire qui,
s'il était suivi scrupuleusement, vous évitait de
tragiques ennuis. On ne parlait pas alors de paranoïa, sauf
ceux qui avaient intérêt à ce que l'on
ne se méfie pas. Si aujourd'hui les uniformes ne sont pas
(encore)
dans les rues, les oreilles sont par contre bien plus
aiguisées
qu'à l'époque empirique où le vecteur
humain
était la principale source de renseignements et
d'approche. En effet, l'omniprésence de la
téléphonie, de l'informatique et
des technologies modernes dans tous les actes de la vie offre
à la
frénésie sécuritaire des dirigeants
boostés par le prétexte terroriste,
une formidable opportunité d'installer
Big Brother, ce dont ils ne se privent pas.
Comme
tout
ce qui surveille sans se faire connaître ou se faire voir
est suspect et que tout ce qui est suspect
éveille l'instinct de
survie propre à tout être humain normalement
constitué, on ne saurait trop conseiller
la saine paranoïa qui, de toutes les
façons, fait aujourd'hui envisager des risques inférieurs
à la réalité.
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ONU: l'institution la plus "écoutée" de la planète... surtout par les espions.
Savoir
ce que l'autre pense et quelles sont ses intentions est une
clé déterminante dans tous les rapports de
forces, à commencer par les
rapports internationaux. De ce fait, nul pays n'est
à l'abri de l'espionnite
aiguë, surtout aujourd'hui où les moyens
sont sophistiqués et l'emploi est devenu un outil
de la
gouvernance intérieure pour les dirigeants de la majeure
partie des pays de la
planète.
L'ONU dont la charte précise les grands
principes des relations internationales, de
l’égalité
souveraine des Etats jusqu’à
l’interdiction d’employer la force dans
les relations, s'enorgueillie de promouvoir la paix et la
sécurité, le développement et les
droits de
l'homme dans le monde entier. Dans la pratique, sa
vitrine est aussi symbolique que les résolutions de son
Conseil de
Sécurité et, si tous les
pays membres y sont considérés
théoriquement à égalité, ce
sont les deux ou
trois plus puissants qui décident et dictent la
forme que doit
prendre l'unité mondiale. De ce
fait, la "sonorisation" du siège de l'ONU permet d'avoir connaissance
de toutes les conversations des représentants des
192 pays de la planète qui s'y
côtoient et se révèle un outil
déterminant pour ceux qui entendent les circonvenir,
au premier rang desquels les Etats-Unis qui sont le premier bailleur de fond de
l'institution en même temps que son hôte et
son principal donneur d'ordre.
Compte tenu de cette réalité, on pourrait
même se demander si la création de l'ONU et
l'implantation de son siège à New-York ne
contenait pas, pour certains de ses inspirateurs, une intention
planifiée d'avoir en permanence sous la main les
192 représentants des pays de la planète pour
mieux les circonvenir en prévision de la mise en place du
fameux nouvel ordre mondial destiné à s'appliquer
à tous. Quoiqu'il en soit, l'absence de sanctions
à la présence des espions dans les locaux de
l'ONU n'est pas prête de cesser, pas plus que le "nettoyage"
des micros du même nom. Est-ce un hasard ?
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Le futur proche sera t'il peuplé de robots-humain ou d'humains-robot ?
Les robots vont-ils prendre forme humaine ou bien
est-ce l'humain qui va se robotiser ? La question n'est pas qu'une
forme de style car la compétition est engagée
entre ces deux "projets" qui conduiront inévitablement au
cyborg d'un futur pas si lointain que notre présent dessine
déjà. D'un coté, on constate
la volonté
de donner forme et comportement humains aux robots
électromécaniques afin
d'habituer la population à leur présence
et en particulier auprès des plus jeunes.
D'un autre coté, on habitue
la population à accepter l'intrusion et la domination de
puces électroniques dans la vie quotidienne
pour la conduire ensuite aux implantations
de ces circuits imprimés directement dans le corps
et dont la mode du percing introduite chez
les jeunes
n'est qu'une préparation mentale. Dans tous les
cas, on aura bien compris que ces deux chemins parallèles se
rejoindront pour former
une humanité robotisée.
Ainsi, la vision de Martin Cooper de voir l'homme
doté d'un téléphone directement
implanté dans le corps est assurément plus une
prédiction qu'un rêve. Cette
implantation sera même certainement la
première à être effectuée,
juste après celle de la puce
médicale dont l'acceptation est la plus facile à
obtenir, car elle permettra de doter
l'humain de l'émetteur-récepteur permanent sans
lequel le robot ne peut être contrôler et diriger
par son maître.
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Emballage démocratique pour régime dictatorial.
En marketing, on sait bien que l'emballage
fait le produit. Un bon slogan, de belles
couleurs, un
zeste de
valeurs authentiques et une bonne communication font passer une
ratatouille niçoise 100%OGM fabriquée
à Taiwan pour une recette de grand-mère
Mireille à base de légumes frais
achetés le matin au Cours
Saleya. Si cette manipulation ne fait pas long feu avec ceux qui
connaissent le goût de la vraie ratatouille
niçoise, par contre elle fonctionne assez bien
avec les autres, au point que pour certains le contenu de la boite
s'identifiant avec son emballage, devient l'étalon de la
recette et de son fumet. Il arrive même que lorsque
les plus conditionnés de ces derniers sont en
présence de la vraie recette avec de vraies
légumes, ils la trouvent fade et la
considèrent comme une mauvaise copie de "l'authentique" de
Taiwan.
En politique l'usage
de cette technique de manipulation est devenu
l'incontournable adjuvant de la gouvernance où,
comme pour la ratatouille niçoise made in Taiwan,
l'emballage emporte le contenu pour les citoyens qui
réduisent la démocratie et la
république à un label symbolique en forme d'AOC,
à une convocation tous les 6 ou 7 ans devant les urnes et
à une opposition institutionnelle même si elle est
composée du même type de personnel que la
majorité en place. Pour ceux-là,
un
emballage démocratique s'oppose à un
emballage dictatorial même
si derrière le premier s'abrite
le régime du second.
C'est exactement ce que l'on constate avec la "démocratie
américaine" illustrée par la CIA et dont
témoigne ce yéménite, victime parmi
d'autres de pratiques qui n'ont rien d'un dérapage mais
attestent de l'usage courant (voir institutionnel)
de l'arsenal des dictatures sanguinaires.
Plus que jamais, il est vital de se rappeler que ce sont
exclusivement les pratiques d'un pouvoir qui le qualifie de
démocratique ou de dictatorial, aux Etats-Unis
comme ailleurs et en particulier en France où l'appellation "pays des droits de l'homme"
est un bel emballage suranné qui abrite un contenu de plus
en plus made in USA
à la sauce bushienne.
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