Actualisée
le 30 mars 2011
La
revue de presse qui est mise
à
jour régulièrement est une
sélection
personnelle.
Visitez aussi
Le point sur
Big Brother - 1 Juil 2007
Le point sur Big
Brother - 2 Août
2007
Le point sur Big
Brother - 4 Nov/Dec 2007
Le point sur Big
Brother - 5 Jan/Mars
2008
Le point sur Big
Brother - 6 Avril-Juin
2008
Le point sur Big
Brother - 7 Juillet-Sept
2008
Le point sur Big
Brother - 8 Oct/Dec 2008
Le point sur Big
Brother - 9 Jan/Mars
2009
Le point sur Big
Brother - 10 Juil/Sept
2008
Le point sur Big
Brother - 11 Jan/Juin
2011
- RFID en Chine:
Une Big Brother's story
- USA:
des puces électroniques dans le cerveau des soldats
- Puces
et tatouages: votre toutou a-t-il ses papiers en règle ?
- Les
petites communes s'interressent à la videosurveillance
- Terrorisme:
Les services spéciaux de toute la planète se
réunissent à Khabarovsk
- Ekahau
s'associe à VeriChip pour produire une solution de
sécurité dédiée aux soins
de santé
- U-blox
éclaire les zones d'ombre de la géolocalisation
- Un
commissaire européen veut bloquer la diffusion sur le Web
d'information dangereuses
- Suppression
de la protection des données aux USA
- La
Russie aux mains des espions, selon un ex-dissident
- Blogs
et sites Web chinois victimes d'un grand nettoyage
- L'assurance
auto
française prépare la révolution du
"pay
as you drive"
- Un
douanier ailé
- La
technologie RFID
débarque à la plage
- Un
système d'audio surveillance installé dans les
rue de Groningue (Pays-Bas)
- Création
d'un centre national des technologies RFID et
Le
gouvernement annonce un soutien à la technologie RFID
Les
puces RFID se développent tous azimuts
- Un
avion-espion pour la traque de présumés
terroristes en Grande-Bretagne
- Quand
la police pousse les associations à la délation
- Le
Wifi porte d'entrée du piratage des communications
téléphoniques, des mails, des ordinateurs, etc...
- Des
drones pour surveiller banlieues et manifestations et
Des
appareils testés en Europe mais très
utilisés en Israel
- Un
rapport dévoile les dessous de la censure du Net en Chine
- Le
documentaire "La vie
révée des rats" au festival du film
scientifique.
- Les
japonnais ont le portable dans la peau.
- Des
insectes robots en action lors de manifestations et
Des
insectes robots qui mouchardent
- Toutes
nos communications passent par les USA et la NSA adore ça
- Californie:
Non aux implants d'identification par radiofréquence
- Suisse:
Les Tasers font des étincelles au National
- L'Autriche
veut légaliser l'espionnage informatique
- La
RFID va devenir le standard mondial de la surveillance des
véhicules automobiles
- Marketing
mobile: test grandeur nature mené à Lille autour
de la RFID
- Blackwater
peut être légalement ce soir dans votre ville
- En
Angleterre, on suit les élèves à la
trace avec de la RFID
- Chez
Edeka le doigt est un mode de paiement
- Plus
de 755.000 noms sur la liste de surveillance anti-terroriste US
Pour ceux qui n'y croyaient pas: Fin de la fiction, début de la réalité.
Je
ne suis pas certain que les citoyens qui trouvent des avantages au
"sécuritaire" n'éprouvent pas un
certain malaise, au moins en leur fort
intérieur, en prenant connaissance de
l'expérimentation
de Shenzhen. Il
y a en effet un fossé
d'acceptation entre le sécuritaire appliqué
aux "délinquants" et le sécuritaire
appliqué à soi-même,
notamment
sous cette forme de traçage introspectif constant
cerné par des miradors invisibles et des espions
indétectables.
Le "bon
français qui
travaille" (héros
médiatique, mais
espèce en voie
de raréfaction) va-t-il accepter le fait que
des
inconnus - non identifiés et non identifiables -
suivent à la trace
ses moindres gestes, ses moindres
déplacements, ses moindres
travers, filment les rencontres avec sa
maîtresse
ou
son amant, établissent le
détail de ses achats qui
sera examiné par les impôts ou
quelques autres
services ?
De plus, qui
peut prétendre connaître
ceux qui se cachent derrière les écrans
d'observation ?
Qui
peut être certain
que son comportement, ses
goûts,
ses amitiés ou ses pratiques d'aujourd'hui ne seront pas
demain des
incivilités si le pouvoir de l'ombre
décide de changer les critères
ou si ce pouvoir change de mains ?
Qui a une confiance suffisante dans les politiques pour
affirmer qu'ils ont une indépendance de
décision et une quelconque maîtrise dans ce
qu'ils installent avec
frénésie ?
Qui peut affirmer l'existence de limites
au processus de
surveillance ?
Bref, "le bon
français qui n'a rien à se reprocher"
se voit-il en cobaye
d'un Loft (ou Secret) Story dont on ne
sort jamais et dont la vie est scénarisée par une
"voix" extérieure aux penchants manipulateurs et pervers
avérés ?
Par contre ce qui est certain, c'est que le jour ou il dira ne
pas vouloir de ça, ce sera trop tard
pour la simple raison que les installations sont
déjà quasiment en place aujourd'hui et qu'il ne
suffit plus qu'à les connecter pour que cela
fonctionne.
Ainsi, le pire c'est que la
première application de
ce
dispositif sera pour mater l'inévitable contestation
populaire qui voudra, ou qui simplement pensera, s'y
opposer.
A voir l'accélération des plans de
vidéosurveillance massive, la multiplication des
infrastructures de traçage par RFID ou le nombre
d'adaptations à la biométrie, il est
évident que l'opérationnel va
être bouclé très vite.
1984
c'est
maintenant !
Haut
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Mutation génétique: l'humain téléguidé.
Le rêve des mystiques de la race pure,
malléable et corvéable est sur le point de
prendre fin pour devenir réalité. Demain les
soldats (et les policiers) téléguidés,
après-demain les citoyens
lobotomisés et radio-guidés. La
société des robots est manifestement en marche
entraînant le compte
à rebours des derniers jours des humanoïdes
terrestres descendants de l'homo sapiens.
Paranoïa ou pure logique ?
Haut
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La pupuce du toutou et la pupuce du maître.
Prenez
les citoyens un par un, faites leur implanter une puce
sous-cutanée de type VeryChip et créez une
police
dénommée Inspection
du bien être humain.
Assignez aux contrôleurs de cette Inspection la mission
pendant quelques mois de mener une campagne
systématique
de vérification des implantations et de sensibilisation
des sujets à la
nécessité absolue:
- de l'identification pour pouvoir leur permettre d'être
suivis (ne pas
répondre aux questions: pourquoi
? et par qui ?),
- de protéger leur santé (éluder les
interrogations des sujets qui objectent qu'une puce dans le corps
produit des tumeurs)
et le bien être,
- de rendre plus difficile leur enlèvement (invoquer la
pédophilie et les schizophrènes si
la situation
financière du sujet élimine la
possibilité du
versement d'une rançon donc d'un enlèvement),
- et d'être retrouvé s'ils s'égarent (ne pas leur préciser
qu'il s'agit du droit chemin).
Puis au terme de la sensibilisation, donnez l'ordre aux inspecteurs
volants de dresser procès-verbal. En cas de
récidive
constatée à l'issue du délai
de mise en
conformité, faites procéder à
l'incarcération administrative de l'individu pour la
durée
établie par décret du Ministère du
Contrôle
de la Population pendant laquelle il sera
procédé
d'office à l'implantation de la puce
sous-cutanée,
laquelle devra contenir la mention de l'incident et le niveau 3
à la
rubrique rébellion.
Commentaire inspiré par la lecture conspirationniste ? Ou
simple
déduction de bon sens en forme de projection sur un proche
avenir ?
Le
constat de l'existence de tous les instruments
nécessaires au contrôle de l'humanité
et d'une
volonté avérée de les utiliser suffit
à
répondre à la question de leur emploi sur l'homme.
Pour
le reste, passer de l'expérimentation
animale à
l'application humaine est un jeu d'enfant. Il suffit
simplement de prémunir le rejet naturel en nous
y préparant au moyen de quelques petits et, souvent,
stupides avantages.
Haut
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L'œil de verre vous surveille partout
Les petites communes de province ne resteront pas
à la traîne du grand élan nationEn
Angleterre, on sit les élèves à la
trace avec de la RFIDal.
D'ailleurs, le Président et son Ministre de
l'Intérieur ne l'accepteraient pas puisqu'ils
veulent que chaque parcelle
du territoire soit couverte par l'œil d'une camera de
surveillance.
Cela fait reculer la petite délinquance disent-ils, tout du
moins celle qui n'a pas l'idée de mettre une
capuche pour masquer son visage et réaliser anonymement ses
larcins à la roulotte. Plus
sérieusement, comme le précise le Maire de
Bedoin:
"C'est aussi un moyen de
lutter contre certains actes d'incivilité, comme des
dégradations sur certains équipements publics".
Voilà donc la
raison principale qui en cache une autre, celle d'avoir constamment un
oeil sur les brebis du cheptel.
Dès lors, une précaution s'impose. La prochaine
fois qu'un besoin pressant et naturel vous prendra dans une
des charmantes communes rurales de France qui se met
à la vidéosurveillance, je vous invite fortement
à vérifier avant de vous soulager comme les
centaines de générations qui vous ont
précédées, que l'un de ces
gardes-champêtre électroniques ne scrute pas
stoïquement le petit bois en lisière de
village ou n'a pas l'œil de verre vissé
sur le mur aveugle
de la grange désertée. En plus de fournir
éventuellement un objet de plaisanterie (ou de plaisir, qui
sait ?) aux "men in black" derrière leur écran
de kontroll,
vous risqueriez au mieux une amende
accompagnée de la leçon de morale et au pire en
cas de récidive, un séjour carcéral ou
- nous dit-on - les sanitaires collectifs s'offrent à la vue
des nombreux voisins de chambrée (plus humain mais tout
aussi gênant).
Haut
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Si tous les espions du monde se donnaient la main ! ... Ca vient.
Voir mon commentaire dans la revue de presse Mondialisation
Haut
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De l'Alzheimer qui se balade au bien portant .... juste l'épaisseur d'un fil invisible ?
La technique ne cesse d'avancer dans le
système de traçage indifféremment
appliqué au matériel et à l'humain. En
associant la
technique du sans fil et celle du marquage par rfid et puce
sous-cutanée, c'est l'ère
du suivi en temps réel et dans les plus petits
recoins d'une zone équipée qui est rendue possible à grande
échelle.
Comme très souvent, c'est par la santé - domaine
sensible à la peur et à l'angoisse - que
l'expérimentation et l'acceptation commence. Le
problème c'est qu'il n'y a pas de
différence dans la "gestion du risque" entre un Alzheimer
qui
décide de se balader au hasard en pleine nuit, une
seringue
qui traîne ou la position géographique d'une
infirmière dans le service. Bref de la gestion
globale de
stock en puissance.
Haut
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Bientôt, localisés même au fond d'une cave.
Encore une avancée technologique de
première importance dans la géolocalisation par
satellite et donc dans le traçage. Dorénavant, la localisation
dans des endroits réputés inaccessibles quels que
soient les lieux moments permet aux satellites de faufiler
leurs
radars dans les moindres "canyons
urbains".
Ce qui fait dire au concepteur de l'u-blox 5 que d'autres applications
sans précédent de GPS vont profiter de cette
performance. En la matière, on peut faire confiance aux
théoriciens de la gestion et du traçage pour
trouver une quantité d'utilisations dont la
majorité ne sera pas au service des utilisateurs citoyens,
mais appartiendront aux zones
d'ombre des bergers de l'humanité.
On se demande encore pourquoi l'ennemi public mondial N°1
qu'est l'agent Ussama Bin Ladin n'a pas encore
été identifié, ne serait-ce que par le
téléphone portable qu'il utilise pour lancer au
bon moment des fatwa angoissantes. Mais est-ce encore une
priorité ?
Haut
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L'organe
supranational et non représentatif des citoyens qu'est la
commission européenne est en train de concocter une
véritable bombe
contre la circulation de l'information libre
sur
le Web et la communication entre les internautes. Sous
l'habituel
prétexte du terrorisme, le commissaire en charge de la
justice
et de la sécurité (on appréciera au
passage
l'ambiguïté de la réunion dans la
même
main de ces
deux concepts) a l'intention "d'empêcher
des gens d'utiliser
et de chercher des
mots dangereux comme bombe, tuer, génocide ou
terrorisme".
On pourrait sourire sur le prétexte
des "terroristes"
qui sans le Net ne saurait comment
fabriquer une bombe ni se procurer le matériel
adéquat
alors qu'on nous présente la
nébuleuse terroriste comme une puissante et tentaculaire
armée de
l'ombre fonctionnant en réseaux
et que par ailleurs les artificiers se rencontrent essentiellement dans
les milieux militaires officiels ou de l'ombre. Tantôt
professionnel avide de sang innocent et
tantôt amateurs dérisoires bricolant une
bombinette suivant les plans glanés sur le Web, le kamikaze
(de préférence islamiste) présente
décidément des visages aussi variés
que forts
utiles.
Quoiqu'il en soit, dès que les dirigeants des pays
de la communauté auront entériné
ce projet (ce qui sera évidement fait !), il ne sera plus
possible de
faire des recherches à partir de mots
catalogués comme dangereux (!).
On sourit moins à l'évocation de ce
qu'est la notion
de mots dangereux dans la logique de pensée de ces
décideurs. Ainsi taper dans un moteur de
recherche les
mots vérité, réalité,
histoire,
génocide
culturel, origines,
opposition,
manipulation,
mensonge,
corruption,
bavure, expulsion, injustice, etc...
pourrait fort bien ouvrir une page vide ... tout
comme les phrases clés: faire
la bombe, s'éclater,
tuer le
temps, etc...
Derrière cette réelle paranoïa
qui anime les dirigeants dans leur course à la censure, au
bouclage et au contrôle des populations, ne
serait-ce pas la
certitude d'avoir à terme la nécessité
de se protéger des citoyens ? Cherchez
pourquoi.
Haut
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Fin de l'Etat de droit aux USA et officialisation du pouvoir de l'ombre.
L'administration américaine vient de tordre
le coup à deux principes essentiels sans lesquels une
démocratie n'existe pas. L'Etat de droit qui se
traduit par la primauté des pouvoirs judiciaires et
législatifs dans le contrôle des
activités de surveillance policière. L'existence
sans aucun contrôle ou justifications sérieuses et
ponctuelles d'un espionnage global de toute la population.
Par voie de conséquence, les USA
ne sont plus une démocratie dotée d'un Etat de
droit, mais un régime
totalitaire ou le pouvoir
réel est détenu par une caste insaisissable de
spécialistes de l'espionnage et de la manipulation.
Mais il y a une dimension supplémentaire. Le
pouvoir étasunien officialise et
institutionnalise son contrôle sur toutes
les communications
étrangères. Cette
ingérence unilatérale aurait
déclenché dans le passé une
réaction violente de la part de tous les autres pays de la
planète qui y auraient vu une véritable
déclaration de guerre.
Ce ne sera pas le cas aujourd'hui, non seulement parce que
l'administration des Etats-Unis en prenant la
tête de la "guerre au terrorisme" qu'elle a
imposée, exerce sur tous les pays une
pression teintée de culpabilisation et de peur reposant sur
le "ceux
qui ne sont pas avec nous sont contre nous".
Mais surtout parce que les
principaux dirigeants politiques mondiaux "fonctionnent" sur
la même culture de pouvoir et mettent en place les
mêmes moyens de surveillance sur leurs populations.
Rien d'étonnant donc à ce que
le même type d'individus opaques se soit
rendu propriétaire, dans l'ombre des dirigeants
officiels, des Etats-Unis et de la Russie (voir l'info suivante).
Je vous laisse le soin de rechercher et vérifier ce qu'il en
est en ce qui concerne la France.
Haut
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Même constat qu'aux Etats-Unis, les agents de l'ombre sont les propriétaires réels de la Russie.
Quand
un président est issu du monde des espions, du renseignement
et
donc de la manipulation, il ne faut pas être
étonné
qu'au bout de quelques années de pouvoir le pays soit aux
mains
de ses ex-collègues. Ceci est valable pour M. Poutine,
ancien patron du KGB de la RDA, tout comme pour M. Bush
père, ancien directeur de la CIA dont le
fiston, nourri à la même source, est
visiblement cornaqué
par les mêmes initiés du pouvoir
invisible sur les citoyens.
Curieuse, mais remarquable conclusion historique qui fait que
les deux anciens blocs opposés qui ne cessaient de
s'espionner et nous ont joué la partition du monde libre
contre le totalitarisme (et réciproquement), sont
aujourd'hui aux
mains des même nébuleuses de la surveillance
issues de la guerre froide et animées
des mêmes
intentions vis-à-vis de leurs propres populations.
Au-delà, cette similitude dans la forme de gestion, dans les
moyens utilisés et dans la conception de ce que sont les
populations dans l'esprit des plus puissants, pourrait bien
montrer le
visage et annoncer les intentions du vrai
pouvoir mondial en gestation dans les cartons de la globalisation
économico-politique.
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Le modèle chinois prêt à l'export.
Dans leur frénésie
à vouloir éliminer
toutes les manifestations de
la
pensée individuelle qui ne soient pas un
louange aux
"maîtres" ou qui les servent, les censeurs-policiers chinois
ne font
aucun
détail. En sont-ils d'ailleurs capables ? La
machine est
primaire comme ses utilisateurs et les intentions sont
cannibales comme la logique du système.
Ainsi, on
passe de l'élagage des branches au
déracinage de l'arbre. Staline avait
emprunté cette voie en fidèle serviteur de ses
inspirateurs, comme d'autres l'ont fait revêtus de costumes
différents.
Mélange
caractéristique et explosif de la pathologie
paranoïaque schizophrène, du pouvoir absolu et de
la suffisance des médiocres dont un
échantillon s'est exprimé en Europe entre 32 et
45 et que beaucoup
de clones sont en train de reproduire sans retenue un
peu partout et notamment en France.
"La victoire est au bout
du fusil" affirmait Mao Zedong pour galvaniser
les fourmis rouges du Parti. Aujourd'hui que la victoire est acquise
depuis longtemps, c'est à
dire la possession
du pays et surtout de ses habitants, c'est
avec les ciseaux que les fourmis du Parti
capitalo-marxiste taillent un
modèle de la
société de demain, à faire
saliver tous
les fous de la planète dont l'existence n'est
possible qu'à travers la domination et le ligotage des
autres.
Compte tenu de l'état avancé des moyens
techniques et juridiques de
contrôle dans la plupart des pays du monde, notamment ceux de
la surveillance du Web, la
"rafle" violente des serveurs chinois est
certainement une préfiguration de ce qui nous attend
plus vite que nous ne le pensons.
Si tel est le cas, l'impossibilité de communiquer
sonnera la
fin de la pensée humaine, de la
confrontation et du partage des savoirs,
des identités culturelles, des traditions
millénaires, et de la richesse de nos diversités.
Mais n'est-ce pas le but
de la solution finale qu'est le
génocide de l'humanité un peu pensante et
le retour des "dieux" carnassiers.
Haut
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Une nouveauté dans les
méthodes marketing commerciales devrait mettre
la puce (si
j'ose dire) à
l'oreille de ce qui n'est rien moins que l'option du fil
à la patte. En effet, cette "option"
n'entraîne pas l'habituel surcoût
qui accompagne le petit plus par rapport à
l'équipement standard, mais propose la diminution du prix du
service
de base.
Certes, la
séduction use d'une autre logique
très naturelle qui est que l'on ne devrait payer une
garantie qu'en fonction des risques réels que l'on
génère ou auxquels on est exposé.
En
l'occurrence, le nombre de kilomètres parcourus et la zone
géographique ou se déplace
habituellement l'automobiliste. Si les
intentions étaient le seul motif de cette innovation
commerciale, il
suffirait donc de se baser sur le lieu de résidence, l'usage
habituel du véhicule (privé, professionnel,
trajet
quotidien, etc...) et le kilométrage annuel. Autant de
données facilement contrôlables ou
vérifiables par l'agent d'assurance ne serait-ce que qu'en
lui montrant le compteur kilométrique du véhicule
au moment du renouvellement de
contrat. En tous cas moins contraignantes en infrastructures, en
investissements financiers et humains que la surveillance à
distance permanente des boites noires embarquées.
Difficile
donc de ne pas voir dans ce "service" un
des multiples moyens d'équiper tous les citoyens d'une
laisse électronique. Ce n'est donc pas un
hasard si le
patron des assurances-dommages d'AXA déclare que le Pay as you drive,
considéré sous l'angle "de
simples fins de
tarification", est "la
moins bonne utilisation possible d'un
boîtier électronique dans un véhicule".
Cela vous met-il la puce
à l'oreille ?
Haut
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Les gardes-frontière prennent de la hauteur .. pour mieux te voir mon enfant.
Après la surveillance des champs de
bataille qui s'est évidement rapidement étendue
aux villes, voici une nouvelle
application du
drone espion avant la prochaine qui ira de toutes les
façons
dans le même sens suivant la même
philosophie du contrôle en temps réel des
individus. Aujourd'hui le Canada et la France,
demain ailleurs.
L'incohérence qui veut que
les frontières
soient de plus en plus
contrôlées alors que la mondialisation
prône la libre circulation des capitaux, des biens
et des hommes, est un des paradoxes apparents du nouvel
ordre mondial.
Quoi qu'il en soit, et quel que soit le prétexte,
voilà un autre
système plus prêt du terrain qu'un satellite et
plus mobile qu'une patrouille, qui est mis en place pour observer en
permanence les
mouvements des individus et des populations.
En d'autres temps pas si lointains, ce type d'engin aurait fait la
quiétude des occupants qui traquaient pourtant avec une
relative
efficacité les passages nocturnes de la ligne de
démarcation.
Voir aussi mes commentaires d'actualité sur le
sujet:
- Ca se passe en Belgique et
en Angleterre et ..... ça va venir en France.
- Le
procédé est moins discret que la puce
RFID embarquée, mais il prend des photos.
- Etat
de siège déclaré contre les citoyens.
- Le Chicoungougna de la République..
- Le
club des espions ailés s'agrandit. (avec petite
collection de vidéos)
- Le
drone, un principe à usages multiples mais à
finalité unique.
- Des
drones pilotés de très loin mais qui voient de
très près.
- Drone
caméléon anémique.
- Avec
le drone au Taser, le feu du ciel sera policier.
- Alerte
! Alerte ! Après le ciel et la terre, les drones envahissent
les mers
- Le marché des drones est en
pleine expansion. Devinez pourquoi.
-
Drones: De la surveillance passive au contrôle actif puis à la
répression... mortelle.
Haut
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Encore une application de la RFID pour s'habituer
en douceur et par plaisir au puçage
inévitable. Un petit bracelet au poignet en guise
de fil à la patte et les gamins, le mari ou la femme sont "under control" de
la même manière que le taulard
libéré troque les murs en dur de la cellule
contre le grillage invisible de la "zone"
autorisée.
Prochain épisode: le mariage entre les
développeurs de cette application et la firme Taser pour
offrir le bracelet anti-fugue délivrant une
décharge électrique dès que le porteur
s'éloigne trop à la manière du collier
électronique pour chien.
Haut
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On nous filme dans les rues mais on nous écoute aussi.
Du pur
Big Brother comme le constate l'un des
interviewés de ce reportage. Même l'argument de la
lutte contre le terrorisme qui est le prétexte de
départ de la
mise en place tous azimuts des systèmes de surveillance
multiforme, ne peut pas justifier l'installation de ces micros dans les
rues.
Il devient de plus en plus évident que l'appelation
"terroriste" était bien destinée
à qualifier le citoyen. Ainsi,
l'objectif de ce dispositif
d'écoutes publiques non-stop est plus certainement l'identification
immédiate de toute "rébellion"
citoyenne, comme la contestation d'un PV inique, la
réaction légitime face à une
"bavure" ou une injustice en train de se commettre.
L'étau se resserre à marche (militaire)
forcée.
Haut
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La rechnologie RFID institutionnalisée par la création d'un Centre National.
La
RFID fait déjà partie de notre quotidien sans que
nous en
ayons été
informés et sans que nous en cernions la dimension
réelle.
Elle inonde rapidement tout notre environnement en tirant ses fils
invisibles et
permanents dont l'intérêt à terme est
à
l'évidence de nous
tracer géographiquement, économiquement,
sociologiquement et policièrement.
C'est donc moins le montant de la dotation allouée que
l'intention politique qu'il faut retenir dans la création du
futur Centre National des technologies RFID que le gouvernement vient
d'annoncer. En langage politique et administratif cela veut dire que cette
technologie est reconnue institutionnellement par la
création d'un organe représentatif,
comme l'est le Centre de l'Energie Atomique (CEA) pour
l'industrie nucléaire. A l'usage, on sait qu'en
habillant d'un costume public la puissance d'un lobby, l'Etat se dote
d'une caution qui lui permet, si le besoin s'en fait sentir,
de
justifier telle ou telle décision que
l'opinion publique
retoquerait. Comme on sait aussi d'expérience
à quel
point les politiques abandonnent rapidement leur pouvoir d'analyses
éthiques - quand ils possèdent cette
capacité - et de décisions à ce genre
d'organe (le Centre
National de Transfusion Sanguine et l'affaire du sang
contaminé !), on
peut sans risques s'attendre à une accélération
de la mise en place sans contrôle de futures applications de
la RFID qui débordent largement le cadre de la gestion des
stocks de marchandises pour affecter directement le .... "stock humain"
des citoyens.
Haut
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De la surveillance du trafic routier à celle de nos conversations téléphoniques.
Comme il faut systématiquement s'y
attendre, les
motifs invoqués pour l'installation d'instruments de
surveillance ne sont que des prétextes pour les faire
accepter. Ainsi, cet exemple anglais montre comment
s'opère la rapide transformation d'un
système sensé utile (et
donc relativement acceptable)
vers une utilisation liberticide.
En l'occurrence l'avion de surveillance s'avère
équipé d'un matériel
sophistiqué permettant l'interception des
communications téléphoniques qui n'a aucune
utilité en rapport avec sa mission originelle
qui était de pister les véhicules
volés, de surveiller le
trafic autoroutier et de rechercher les personnes
disparues.
On notera au passage que la
"traque" concerne des "présumés terroristes".
Bref, vous et moi, puisque la
notion de "présomption" appartient aux seules
forces de l'Ordre, qu'aucun critère officiel ne la
définie, qu'elle n'a pas besoin d'être
démontrée et encore moins d'être
communiquée à la personne "ciblée".
Haut
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Retour vers le passé, version 1942.
Il
semble qu'une
volonté venant forcément de haut soit en
train de remettre à l'ordre du jour l'une des pratiques les
plus
abominables que puisse connaître l'espèce humaine.
Après les assistantes sociales
invitées à "collaborer" avec la police afin de dénoncer
les "indésirables" venus trouver secours auprès
d'elles, voici une association d'accompagnement
aux prostituées qui est mise
sous pression avec force intimidations qui n'ont rien
à envier aux méthodes
gestapistes, pour "donner" comme une vulgaire "balance"
les filles sans papiers qui vendent leurs corps pour le compte
en général de malfrats qui, bien
qu'identifiables, ne risquent pas beaucoup de se faire
alpaguer.
Avec
une grande naïveté, on
pense toujours
que le temps où
les "bons français" se mesuraient à
l'étalon de la
servile délation appartient au sinistre passé
vert de
gris, teinté de collaboration volontariste. "Plus jamais ça !".
Il en est toujours ainsi quand on
veut exorciser les vieux démons. Puis le temps
passe et les
générations suivantes figent l'histoire dans une
image et
quelques mots pour en faire le symbole d'une barbarie du
passé, ne retenant que l'uniforme de
l'époque et
négligeant l'esprit.
Pourtant, cet "esprit" à l'odeur de fange est identifiable
par n'importe quelle narine un tant soit peu humaine, même
enrhumée, et devrait provoquer immédiatement le
rejet au nom du droit humain qui est obligatoirement
supérieur à n'importe quel autre droit.
Ces mots sont peut être durs, mais il sont parfaitement
appropriés à ce qu'inspirent l'usage
de la perversité, la lâcheté, et
l'absence de scrupules de la part d'un pouvoir armé face
à des citoyens pour traquer comme des bêtes des
êtres humains déjà largement
bafoués et très souvent en état
de survie.
Ne soyons donc pas surpris si dans les mois qui viennent des
associations-écrans apparaissent pour attirer dans leurs
filets les
innocents indésirables aux abois, à la
manière des agents miliciens qui se faisaient
passer pour des intermédiaires de Londres.
Haut
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Wifi, un ami qui vous veut du mal.
A présent que la technologie sans fil
(bornes wifi, portables, GPS, RFID, etc...) est largement
implantée à la maison et dans les rues, on nous
apprend qu'elle offre un
moyen idéal au piratage massif, c'est
à dire à l'interception de toutes les
fréquences utilisées. De ce fait, les
investissements technologiques réalisés par les
entreprises pour se mettre au niveau de la modernité vont
entraîner de nouveaux
investissements pour se
protéger des oreilles et des yeux indiscrets de
la
concurrence, sans pour autant réduire significativement le
risque.
Quant aux utilisateurs privés qui se sont convertis avec
frénésie au portable, au GPS ou au Wifi, il leur
restera le papier et
le bon vieux crayon pour communiquer en meilleure
sécurité leurs petits secrets, et le naturisme
s'ils ne veulent plus que les mouchards RFID qui
équipent vêtements et cartes
variées ne dévoilent leurs
déplacements.
Au fait, quels sont ces pirates si friands d'observer et de
collationner toutes nos communications, nos déplacements ou
les archives de nos PC ? Des amateurs plutôt
voyeurs ou des fonctionnaires de la surveillance et du
contrôle ?
PS: La vidéo
du lien est extraite d'un reportage dont je peux vous donner
l'intégralité sur simple demande.
Haut
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Etat de siège déclaré contre les citoyens.
Il a fallu à peine trois
mois pour que débarque en France "l'œil d'Horus
volant",
fraîchement utilisé
en
Angleterre et en Belgique, au Canada
et en voie de l'être en Russie. Juste
le
temps de ranger au placard les scrupules en même temps
que le prétexte usagé du terrorisme.
C'est
donc
désormais sans détour que les
forces de l'Ordre
(Noir ?) vont scruter d'un oeil perçant tous
nos mouvements (ici un exemple de ce que peut
permettre un drône).
En pure logique, il est certain que rapidement nous ne pourrons
plus, sans le risque automatique d'un contrôle
appuyé avant
un embarquement pour les geôles de redressement:
- nous promener en groupe supérieur à deux
personnes,
- sortir sur la voie publique sans être
équipé
d'une de ces balises que sont les portables, GPS, RFID, cartes
biométriques en tous genres, etc...,
- emprunter un trajet qui ne soit pas conforme
à nos
besoins théoriques ou qui apparaissent
incohérent
à l'esprit des geôliers de l'ordre,
- nous arrêter sur la voie publique sans un motif
sérieux,
- stationner plus de 30 secondes devant ou à
proximité de
bâtiments officiels.
Aurions-nous envisagé, il y a dix ans, cette
réalité comme certaine ? Si vous
répondez par la négative, projetez-vous dans dix
ans en imaginant comme une réalité
la vie que tout ceci nous
réserve.
Voir aussi mes commentaires d'actualité sur le
sujet:
- Ca se passe en Belgique et
en Angleterre et ..... ça va venir en France.
- Le
procédé est moins discret que la puce
RFID embarquée, mais il prend des photos.
- Les
gardes-frontière prennent de la hauteur .. pour mieux te
voir mon enfant.
- Le Chicoungougna de la République..
- Le
club des espions ailés s'agrandit. (avec petite
collection de vidéos)
- Le
drone, un principe à usages multiples mais à
finalité unique.
- Des
drones pilotés de très loin mais qui voient de
très près.
- Drone
caméléon anémique.
- Avec
le drone au Taser, le feu du ciel sera policier.
- Alerte
! Alerte ! Après le ciel et la terre, les drones envahissent
les mers
- Le marché des drones est en
pleine expansion. Devinez pourquoi.
-
Drones: De la surveillance passive au contrôle actif puis à la
répression... mortelle.
Haut
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Etat de guerre déclaré à la population.
Le Net est l'espace de liberté,
de diffusion de l'information et de communication le plus
ouvert de la planète. Il faut aussi
savoir qu'il est le plus
surveillé et donc le plus contrôlé,
où et qui que l'on soit. Pas une page de site
qui ne soit scannée, pas un mail qui ne soit
passé à la moulinette, pas un échange
de données qui ne soit tracé. Le tout
soigneusement trié, analysé et
conservé par des organismes
souvent non identifiables et en tous cas hors de contrôle
démocratique.
Si aucun motif sérieux et avouable ne peut justifier cette mise
sous gestapisation de l'humanité, c'est donc
qu'elle a un objectif
inavouable: celui d'identifier, d'isoler et
d'éradiquer tous ceux
qui représentent un obstable - actif, passif ou simplement
critique -
à l'installation et à la perennité
d'un pouvoir central ultra dominant qui requiert des
individus dépossédés de leur
liberté et de leur libre arbitre, et volontairement
dociles.
La Chine qui possède la culture et l'infrastructure du
contrôle héritée de l'époque
maoïste est actuellement le laboratoire
d'expérimentation de
la surveillance totale et surtout de la censure et de la manipulation
des informations et des échanges sur le Net.
Le Rapport "Voyage au coeur de la censure"
que viennent de publier RSF et l'ONG Chinese Human Rights
Defenders
mérite d'être lu car il est très
probable que les méthodes qui y sont relatées
seront prochainement utilisées dans le reste du monde.
Haut
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De la lecture des rêves au pilotage des
pensées puis au pilotage tout court. Juste l'espace d'une
volonté.
La transposition à l'homme est affaire de logique pour ceux
qui n'oublient pas que les rats sont utilisés comme cobayes
de laboratoire en vue d'application sur l'humain.
Le visionnage d'un extrait plus long de ce
documentaire est
aussi conseillé (me
le demander si le lien n'est plus actif).
Toujours partant pour le Nouvel Ordre Mondial ?
Haut
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Z-6PO (version française) vous souhaite la bienvenue au sein de sa race et ... l'humain millénaire vous dit au revoir.
Cette innovation qui ouvre des
possibilités innombrables, donne une
idée de
l'homme robot de demain (pas dans 50 ans ...
juste dans une
petite poignée d'années).
Elle condamne
surtout à ne plus pouvoir exister sans son portable-cerveau,
devenu le bracelet
électronique de vie. Sans lui, impossible de
rentrer chez soit (donc
d'avoir un toit),
de prendre les transports en commun, d'acheter ses vivres ou quoi que
ce soit d'autre, de parler avec un congénère (son portable lui signalera
immédiatement qu'il ne vous reconnaît pas comme
humain social), de travailler (ou alors sans être
payé), de pénétrer dans
un bâtiment quelconque, de se déplacer, ... etc
.... ad nauseam.
Combien de nos concitoyens ne vont pas être
tentés par les portables de M. Nakayama ? Certainement pas
beaucoup. En tous cas pas ceux qui ont "mordu"
au téléphone embarqué quand
il est apparu,
puis au téléphone
appareil-photo-vidéo-terminal
Internet, ou au dernier-né qui fait en plus porte-monnaie et
GPS.
Au fond, il n'aura pas été bien difficile d'amener
en douceur et rapidement la grande majorité
des homo-sapiens modernes à troquer joyeusement
leurs cerveaux pour une paire de menottes
électroniques
à peine dissimulée dans un emballage de
verroteries.
Par
voie de conséquence, si les temps vont être de
plus en
durs pour la minorité insensible à la
pacotille
brillante, ils permettront de connaître l'effectif
réel de la race humaine.
Haut
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Le Chicoungougna de la République.
Comme
il y avait le cheval de Troie, il y a
maintenant le Mosquito du triangle
Bastille-Nation-République du
nom des boulevards mythiques et symboliques
qu'empruntent beaucoup
de manifestations.
Cet insecte là ne pique pas, il observe, mais sa
menace est tout
aussi importante pour la santé sociale de ses cibles.
Ce genre de parasite naît et
prolifère dans
les climats
hostiles à l'espèce humaine.
Les
symptômes visibles qui apparaissent quelques jours
après avoir été à son
contact sont en général le parasitage des
communications
téléphoniques personnelles,
quelques déboires administratifs non prévus,
la visite d'employés d'instituts de sondage très
habilles
à faire parler le sondé, des
difficultés subites
avec la
hiérarchie professionnelle, et divers
événements
peu logiques.
Désormais, le manifestant prévoyant devra
embarquer dans sa besace la bombe FlyTox à
coté de la gourde d'eau pour humecter le gosier
asséché par le chant des revendications, de la
partition de slogans pour
combler les lacunes de la mémoire, de l'indispensable bob
pour le soleil ou du KWay pour les intempéries, et de la
barre chocolatée pour les baisses de régime.
En tous cas, la fréquentation des manifestations,
à l'exception de celles réclamant davantage de
sécurité et des raouts à la
gloire du petit Timonier actuel, est fortement
déconseillée si on n'est pas vacciné
aux intimidations.
Voir aussi mes commentaires d'actualité sur le
sujet:
- Ca se passe en Belgique et
en Angleterre et ..... ça va venir en France.
- Le
procédé est moins discret que la puce
RFID embarquée, mais il prend des photos.
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gardes-frontière prennent de la hauteur .. pour mieux te
voir mon enfant.
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de siège déclaré contre les citoyens.
- Le
club des espions ailés s'agrandit. (avec petite
collection de vidéos)
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drone, un principe à usages multiples mais à
finalité unique.
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drones pilotés de très loin mais qui voient de
très près.
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caméléon anémique.
- Avec
le drone au Taser, le feu du ciel sera policier.
- Alerte
! Alerte ! Après le ciel et la terre, les drones envahissent
les mers
- Le marché des drones est en
pleine expansion. Devinez pourquoi.
-
Drones: De la surveillance passive au contrôle actif puis à la
répression... mortelle.
Haut
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Le 22 à Asnières passe toujours par New-York, et c'est bien utile à la NSA.
L'opératrice
du célèbre
22 à Asnières
de F. Reynaud devait faire transiter la communication par New-York. Si
elle n'existe plus, c'est toujours
par les Etats-Unis que passent la
plupart des interconnexions de télécommunications
entre pays.
La faute
à la tarification internationale longue distance
établie par l’Union Internationale des
Télécommunications (UIT) il y a plus d'un
siècle.
La situation n'a aucune chance d'être
modifiée car elle permet
à la NSA d'intercepter toutes les communications
échangées d'un pays
quelconque vers un autre pays.
La récente autorisation
de
surveiller,
sans contrôle, toutes les
communications venant de l'étranger
(mails et
téléphone), donnée par le
Congrès
américain à cette agence d'espionnage quasiment
incontrôlable, donne à cette situation une
perspective
supplémentaire. Voici donc les USA en
mesure de surveiller légalement et officiellement toutes les
communications
entre n'importe quels pays.
Ainsi, une commande faite par
téléphone entre Paris et Rio sera
immédiatement connue par la NSA sans qu'un tribunal
quelconque
puisse être saisi au nom de l'atteinte à la vie
privée ou à la libre
concurrence.
Haut
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Californie: Terminator 2 vs human's RFID.
Tout laissait à penser que le
rôle du Terminator entièrement bourré
de circuits et de puces électroniques était comme
une seconde nature pour son interprète, Arnold
Schwarzenegger. Le profil de l'acteur, son parcours politique,
ses déclarations, son histoire, ses amitiés, sa
programmation (?) et ce
qu'il incarnait le rangeait dans la catégorie des froides et
brutales machines
à dominer.
C'est donc de la Californie - dont il est le gouverneur -
boostée par le laboratoire de la Silicon Valley, que l'on
pouvait craindre la radicalisation
massive des implantations RFID
à l'homme.
Arnold Schwarzenegger, en prenant la décision d'interdire
à tous les employeurs de son territoire d'obliger
leurs
salariés à subir l'implantation d'une
puce électronique, va
surprendre
beaucoup de monde, à commencer par son ami G-W Bush, ardent
partisan du puçage collectif.
Après tout, Terminator 2 n'était-il pas
programmé
pour protéger le futur sauveur de
l'humanité contre
la
technologie qui peut provoquer le déclin de
l'espèce
humaine ?
Comme quoi, il peut parfois y avoir du bon quand le politique est un
vrai acteur professionnel car il aura inévitablement
tendance
à continuer d'incarner le personnage majeur qui lui a valu
d'être là où il est à
présent.
Par ailleurs, seuls les paranoïaques rapprocheront cette
courageuse décision des incendies massifs de Malibu
(résidence privilégiée des stars
d'Hollywood) qui
l'ont suivie.
"Hasta
la vista baby" and " "you'll be back ?"
Haut
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Suisse: Climat électrique pour les étrangers indésirables.
Qu'est ce qui peut bien pousser la
majorité des demandeurs d'asile ou de "sans-papier"
à s'accrocher au sol sur lequel ils
espéraient trouver refuge ? Tout simplement la
survie.
Cette question n'effleure évidemment pas les dirigeants et
les adeptes du quota d'étrangers acceptables suivant des
intérêts économiques ou politiques,
souvent obscurs. Persuadés que ces étrangers
viennent en fait chercher l'Eldorado, les "nettoyeurs" sont
convaincus de faire oeuvre utile et salutaire.
Mais comme une grande partie des citoyens - y compris beaucoup de ceux
qui peuvent partager le désir de fermer les
frontières - a du mal
à accepter les méthodes de traque et de
"raccompagnement" pratiquées,
l'étranger sans papier a été transformé
en délinquant, de manière
à le soustraire
à l'intégration, à lui
conférer une étiquette
de dangerosité pour la société,
à culpabiliser
ceux qui seraient tentés de lui tendre la main
et enfin à ôter
tous scrupules humains aux forces de l'ordre.
Cependant, cela ne suffit pas à provoquer une
cécité suffisante de tous les
citoyens. Beaucoup réagissent à la vue
du désespoir
qui pousse parfois à choisir la mort comme
quelques derniers exemples viennent de nous le montrer ou à se
débattre jusque dans le charter, le plus
souvent synonyme de
retour vers l'enfer.
Cette réaction pouvant se transformer en
rébellion
citoyenne, c'est donc sur l'occultation publique
des marques du désespoir que l'imagination des "expulseurs
en chef" s'est portée, allant du bâillon
étouffeur à l'escorte pour terroriste en
passant par la camisole "modèle guantanamo".
Dernière innovation - bien placée sur
l'échelle du détestable - l'emploi du Taser
décidé par la Suisse pour réduire
à l'état de légume
l'expulsé récalcitrant à coup de
50.000 Volts. Aussi "propre" que lâche,
même si des "pertes" sont prévisibles. Ca se passe
en Suisse, mais vu le plan d'équipement qui dote les forces
de l'ordre françaises de ce joujou, il va
falloir envisager aussi quelques dommages
collatéraux.
Haut
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De l'espionnage discret au contrôle permanent et officiel.
La discrétion
est la mère de sûreté de l'espionnage.
C'est une évidence. Par voie de conséquence,
lorsque l'espionnage est officialisé, il perd son
essence pour devenir une menace
rémanente. Ainsi, quand c'est l'Etat qui
annonce qu'il fait de l'espionnage un emploi
personnel et officiel, cela s'appelle le contrôle
permanent.
Dès lors son objectif passe de la recherche de la
sécurité collective ou individuelle par
l'anticipation, à la surveillance
globale, ce qui n'est pas du tout la même chose.
Quel qu'en soit le motif, cette décision du gouvernement
autrichien donne un pouvoir
immense et probablement sans contrôle possible
aux services chargés de l'espionnage, avec
toutes les conséquences que l'on peut facilement
imaginer, à commencer par la manipulation.
Haut
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Toutes les voitures seront tracées.
Cette information n'est pas à priori
une révélation, du moins en ce qui concerne le principe
de la surveillance globale des véhicules.
Depuis que les assurances auto
veulent lancer le "pay as you drive",
il est devenu évident que nos
moyens de locomotion privés vont être mis
sous contrôle et traçage.
Ceci va aller d'autant plus vite que l'infrastructure RFID est
déjà largement présente sur les
véhicules,
notamment dans les pneus (Michelin a été un
précurseur) et que la fiabilité des techniques
de lecture s'améliore jour
après jour.
Haut
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Un test qui ressemble à une mise en condition.
Il y a trois manières de mettre en
place un système
qui trace les individus et rend transparent ses
désirs, ses comportements privés et ses habitudes
de consommation: la force, la tentation et la recherche de
l'adhésion. Les trois sont d'ailleurs souvent
combinées pour que l'objectif soit atteint sans que
la réticence des citoyens ou des usagers
n'atteigne le niveau ou le rejet oblige à
imposer l'opération ou la rend
impossible.
Le test grandeur nature effectué à
Lille pour ce qui est en fait la mise
en place globale et effective de la RFID et du Wifi sur le domaine
public et dans l'espace marchand illustre cette
stratégie.
Ainsi, lorsque les consommateurs
auront trouvé ludique, voir pratique (?) d'être
guidé dans le magasin vers les articles qu'ils
auront sélectionnés sur Internet ou
de télécharger à la
volée la chanson de l'artiste sur l'affiche au coin de la
rue, l'infrastructure n'aura plus de raison d'être
contestée et deviendra opérationnelle
à beaucoup d'autres fonctions bien moins ludiques.
Le fait que la CNIL ait été impliquée
dans cet "exercice" prouve que les inspirateurs de
l'opération ont voulu anticiper les réactions
inévitables que suscite le volet obscur de ce
quadrillage
invisible aux
yeux des moins perméables à la tentation.
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On parle peu en France et en Europe en
général de l'état
d'esprit des américains par rapport aux lois
"sécuritaires" instaurées par
l'administration Bush. Pourtant, le sentiment
de peur et de révolte y est
omniprésent dans toutes
les couches de la société, ce qui
donne la certitude d'une réalité de l'opposition
majoritaire à la prise d'otage que vit la
population américaine. Il est vrai qu'au stade ou en sont
les libertés individuelles et collectives, ce n'est plus
dans la projection intellectuelle des conséquences de cette
véritable carcérisation, mais dans la
réalité quotidienne, que les
américains sentent et vivent la surveillance
et le contrôle de l'arbitraire qui
dépassent maintenant largement ce que l'on a sait
des régimes staliniens et des actions des
escadrons de la mort. On peut même affirmer que les sinistres
gestapistes ou les monstrueux agents de la révolution
culturelle maoïste n'ont pas
bénéficiés du quart des moyens, de la
liberté absolue et de la bénédiction
dont disposent aujourd'hui le FBI, la CIA, la NSA et les mercenaires
des milices privées du type Blackwater pour
exécuter une besogne
dont les commanditaires réels ne sont même pas
identifiables.
Vus l'admiration - pour ceux qui connaissent l'importance des messages,
le T-shirt NYPD ostensiblement arboré lors des
footings présidentiels, n'est pas du au hasard - et
l'empressement du président français à
imposer chez nous le système "sécuritaire" de
l'administration Bush, il est certainement temps de prendre
conscience du véritable état d'esprit des
citoyens américains - loin de l'image
délivrée par nos médias - afin de
tisser les
liens que nécessite la résistance populaire
à toutes les prédations barbares.
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Pour le traçage humain aussi, l'école est l'apprentissage de la société.
En
matière de manipulation visant à installer
la
surveillance globale, les enfants représentent
un triple
intérêt stratégique.
D'abord parce qu'ils sont soumis une bonne partie de la
journée
à l'autorité de la sphère de
l'enseignement ou les
parents n'ont pas accès et à laquelle ils
délèguent leur pouvoir. Cette
sphère parfaitement autonome et dotée
d'une
légitimité
sociale et intellectuelle supérieure, n'admet quasiment
aucun
contrôle parental sur son organisation, sa discipline, son
autorité et son enseignement. Aussi, elle peut imposer
à
loisir aux enfants qualifiés d'élèves,
des
systèmes internes de suivi et
d'évaluation psychologique que les parents refuseraient
probablement à l'extérieur.
Ensuite parce qu'ils sont dépendant des adultes et ne sont
donc
pas suffisamment autonomes pour refuser
ce qui peut leur être
imposé par ces derniers et qui choquerait leur conscience.
Enfin, parce qu'il est facile de jouer sur la peur et
l'affectivité des parents en faisant planer une menace
potentielle sur leurs enfants, comme la
possibilité de savoir en temps réel ou ils se
trouvent, les risques d'enlèvements, etc...
De plus, les jeunes
générations possèdent naturellement
une confiance spontanée que l'expérience de la
vie a ôtée à leurs
aînés, ce qui permet
de les habituer
tôt à un environnement dont ils
négligent les risques et d'augmenter
potentiellement le "conflit de génération" si
utile à la dislocation
de la résistance sociale
intergénérationnelle.
Bref, lorsque la surveillance permanente et
sans discernement de tous les élèves d'un
établissement scolaire s'installe effectivement, on peut
être certain qu'elle va être transposée
rapidement à la société
entière.
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Le pouvoir du doigt de Dieu à la portée du consommateur.
Rien de plus jouissif que de se
prendre pour un dieu. Plus exactement d'avoir le pouvoir
d'un dieu. Le problème avec la biométrie est que ce
pouvoir n'est qu'une illusion conférée
par les dieux du traçage, les bergers du
troupeau humain.
Après
avoir mis le doigt dans la tentation, vient toujours le temps du
paiement dont la facture n'est jamais
précédée de l'acceptation d'un devis
détaillé. La liberté
d'être, de circuler, de communiquer, d'exister, de
décider seul de donner et de recevoir en échange
d'un doigt d'illusion ? Mon corps contre ma conscience ? Mes
gènes scannés et statistisés contre le
droit (ou l'interdiction) de manger les fruits des arbres qui
appartiennent à la planète holdopée
par des prédateurs ?
La réponse requiert seulement les deux
doigts de bon sens qui sont inscrits dans les
gènes de l'humain. Pour les réveiller un peu,
s'il en était besoin, il suffit de se poser la question de
savoir ce que nous ferions individuellement si les
caractéristiques de notre doigt nous interdisent - pour des
raisons qui appartiennent aux seuls sélectionneurs de la
bonne race d'humanoïdes - de nous procurer le minimum
alimentaire.
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De plus en plus de terroristes ou de plus en plus d'opposants ?
En pure logique, quand un fichier recensant les
personnes "connues ou
sérieusement soupçonnées d'avoir ou
d'avoir eu des
comportements constituant, préparant, soutenant ou en lien
avec
le terrorisme"
passe
en 6 ans de moins de 20 unités à plus de 300.000
(755.000 en
comptant les pseudonymes), cela veut dire que le
régime visé n'est pas vraiment populaire au point
de susciter la violence aveugle ou qu'il gonfle
cette menace pour justifier un tour de vis supplémentaire
dans son
plan sécuritaire visant la population.
A moins qu'il ne s'agisse comme c'est probablement le cas ici d'un élargissement
des "profils" susceptibles de rentrer dans la base de
données. Compte tenu de son volume et de sa tendance
exponentielle à
l'augmentation, on peut raisonnablement conclure que la
majorité des
fichés que le pouvoir décide de
neutraliser ne sont ni des poseurs de bombes, ni des porteurs
de valises. Tout au plus des opposants au
régime en place.
Car
il s'agit bien de neutralisation
effective puisque la présence
dans ce fichier entraîne pour le
soupçonné - qui n'en est pas informé -
un
certain nombre de contraintes comme la surveillance constante de ses
communications, de ses déplacements, de ses relations, de
ses
activités et de tous les aspects de sa vie quotidienne.
Compte tenu de la paranoïa
frénétique qui anime l'administration
américaine - et celle de beaucoup d'autres pays - c'est
certainement l'ensemble
de la population qui sera
rapidement fiché. Mais n'est-ce pas
là aussi
l'intention et le but final de l'opération ?
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