Actualisée
le 7 avril 2011
LE
POINT SUR LE CONTRÔLE ET LA
SURVEILLANCE DES POPULATIONS - 11
(2011)
Surveillance - Biométrie - Puçage
- Traçage - RFID - Fichage - Empreinte ADN - Police
La
revue de presse qui est mise
à
jour régulièrement est une
sélection
personnelle.
Visitez aussi
Le point sur
Big Brother - 1 Juil 2007
Le point sur Big
Brother - 2 Août
2007
Le point sur Big
Brother - 3 Sept/Oct
2007
Le point sur Big
Brother - 4 Nov/Dec 2007
Le point sur Big
Brother - 5 Jan/Mars
2008
Le point sur Big
Brother - 6 Avril/Juin
2008
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Brother - 7 Juil/Sept
2008
Le point sur Big
Brother - 8 Oct/Dec
2008
Le point sur Big
Brother - 9 Jan/Juin
2009
Le point sur Big
Brother - 10 Juil/Dec
2009
Si un lien ne fonctionne plus, demandez moi la copie de l'article.
- Pakistant:
un drone américain tue 35 personnes, dont des civils et policiers
- Bientôt
des radars sur des motos banalisées et Le radar automatique finlandais que vous n'aimerez
pas voir en France
- Données
privées: Nouveau bras de fer entre gouvernement et acteurs du web
- Une
carte à puce pour identifier les Français
- Ce
mouchard prénommé iPhone et Apple suit les
possesseurs d'iPhone et d'iPad à la trace et Smartphone : Android aussi enregistre les
déplacements de ses utilisateurs
- La police n’aime pas être contrôlée
Drones: De la surveillance passive au contrôle actif puis à la répression... mortelle.
Cliquez sur l'image pour lire l'article
Comme c'était prévisible
parce que logique, il n'a pas fallu beaucoup de temps pour que les
drones passent de la fonction de surveillance à
celle de
la répression active. De la même
manière qu'ils
ont été conçus dans un premier temps
pour servir sur les théâtres
d'opérations
militaires et ensuite être étendu aux
zones civiles (surveillance des manifestations par exemple), il ne faut
pas être devin ou conspirationiste acharné pour
savoir qu'ils vont être rapidement à l'honneur
pour avoir stoppé net quelques clandestins franchissant une
frontière ou pour avoir abattu un fugitif. Ceux qui pensent
que Big Brother se contentera simplement de surveiller le troupeau
humain, seraient avisés de voir ou de revoir le film Stars
War et en particulier la
manière dont les robots et les
drones remplacent avantageusement les plus zombies et les plus froids
des militaires.
Voir mes commentaires d'actualité sur le sujet:
- Ca se passe en Belgique et
en Angleterre et ..... ça va venir en France.
- Le
procédé est moins discret que la puce
RFID embarquée, mais il prend des photos.
- Les
gardes-frontière prennent de la hauteur .. pour mieux te
voir mon enfant.
- Etat
de siège déclaré contre les citoyens.
- Le Chicoungougna de la République..
- Le
club des espions ailés s'agrandit. (avec petite
collection de vidéos)
- Le
drone, un principe à usages multiples mais à
finalité unique.
- Des
drones pilotés de très loin mais qui voient de
très près.
- Drone
caméléon anémique.
- Avec
le drone au Taser, le feu du ciel sera policier.
- Alerte
! Alerte ! Après le ciel et la terre, les drones envahissent
les mers
- Le marché des drones est en
pleine expansion. Devinez pourquoi.
Haut
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Les radars routiers passent de la planque à la filoche.
Cliquez sur les images pour lire les articles
Rien
n'arrête le progrès, surtout pas en matière
de flicage, de surveillance rapprochée et permanente et de
mise à l'amende systématique du
citoyen, par ailleurs de plus en plus infantilisé. Dans l'arsenal
sophistiqué (et coûteux !) mis progressivement en place, le radar
routier est peut être le plus sournois.
Justifié par le
besoin de réduire la
mortalité routière - donc une cause inattaquable et culpabilisante - il
se traduit d'abord par un
moyen de ponction financière à capacité exponentielle
(augmentant la paupérisation déjà largement répandue),
ajustable à loisir
grâce au choix de l'implantation des mouchards (vitesse lente
excessive au regard de la configuration des lieux et des dangers),
à la possibilité de modifier localement les limitations de vitesse
selon le besoin (idéal pour surprendre la vigilance sur les
parcours empruntés couramment) et à ..... l'étalonnage
de l'appareil.
Mais au-delà et à travers le très grand nombre des infractions
qui ne
représentent en réalité pas de risque en rapport avec la cause (au bas
mot environ 90% des PV
liés au radars ne se justifient pas par la création d'un danger
objectif) comme les dépassements de quelques kms/h,
les franchissements au feu orange, etc..., c'est à
l'arbitraire
- toujours caractérisé par
l'absence de discernement du "contrôleur" ou du kapo - auquel la
fonction du radar (et du traitement automatisé des contraventions) nous
habitue.
Le passage aux radars mobiles ajoute la seconde composante à cette
caractéristique constante de l'arbitraire sans visage qu'est la
peur générée par la sensation angoissante d'être
partout et à n'importe quel moment en danger d'être suivi par des
espions à la forme anodine fondus dans la population et le décor.
Bref d'être obligé de se méfier de tout, à commencer par son voisin
comme étaient obligés de s'y astreindre par pur instinct vital les
citoyens soviétiques sous
Staline par exemple.
Ainsi le visage du Big Brother est en train de prendre sa forme
finale: celui d'une milice
de machines autonomes auquel aucun citoyen ne pourra
échapper et agissant pour le profit et la protection d'une caste
invisible.
Voir aussi ma chronique sur le sujet:
Nouveaux radars routiers: des armes de
verbalisations massives, mobiles et embusquées
Haut
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Cliquez sur les images pour lire les articles
Il n'aura pas fallu longtemps ni le
recours à un putsch militaire pour en arriver, grâce à
des prétextes successifs (terrorisme, pédophilie,
téléchargement illégaux, etc...), à la
surveillance complète de notre Internet privé. Voilà donc
maintenant tous nos écrits, nos communications, nos recherches, nos
achats, nos téléchargements, nos échanges les plus anodins et les plus
intimes, susceptibles d'être ouverts sans aucune garantie ni
connaissance à des yeux que nous ignorons, dont nous pouvons douter
fortement du discernement et des bonnes intentions, et qui nous sont
donc hostiles du fait même qu'ils sont cachés derrière des
institutions d'autant plus opaques et incontrôlables
que s'applique à tous les secteurs de la République la politique
d'externalisation menée pour les
services publics.
Mais il y certainement plus
inquiétant encore que nous révèle l'incompréhensible
étendue des moyens intrusifs que donne le Décret du 1er mars 2011 à un
grand nombre d'autorités et donc à ceux (et ce) qui les
contrôlent. En effet, non content de pouvoir "lire" le moindre de nos
gestes sur le Net, il leur est maintenant donné la possibilité
de connaître
tous nos mots de passe actifs, les informations qui permettent de les
vérifier ou de les modifier et les données relatives à nos paiements en
ligne. A quoi
bon ceci, si ce n'est pour les utiliser ?
C'est à ce stade que se situe probablement la
logique finale de ce flicage monstrueux et injustifiable.
De fait, les moyens nouveaux donnés à la surveillance créent
logiquement les
instruments
de manipulation de nos propres données à notre insu.
Ainsi, rien
n'empêchera potentiellement un fonctionnaire et demain son
alter-ego privatisé (1),
d'introduire par
exemple à votre place et donc en votre nom, un commentaire
répréhensible (2)
sur un forum ou un site d'information,
d'envoyer un mail à partir de votre messagerie qui vous accuse
de
tel ou tel délit ou constitue tel ou tel aveu, de faire des
recherches avec vos traces sur des sites dont la fréquentation vous
accusera ensuite, de réaliser pourquoi pas des achats en votre nom
aboutissant à votre ruine.
On peut donc voir se dessiner la forme
ultime que devrait prendre bientôt la gestion du
troupeau humain (3) telle que la souhaite les
dirigeants-planificateurs de notre monde, suivant la procédure:
identification,
fabrication de preuves de culpabilité, condamnation, isolement.
A ceux qui craindrait la paranoïa de mon propos,
je les renvoie à la même paranoïa qu'ils invoquaient quand j'annonçais
par pure logique - avec beaucoup d'autre - que nos messages
sur le Net
seraient à terme tous susceptibles d'être surveillées sans aucun
contrôle ni autorisation. De la même manière, pour ceux qui auraient
encore confiance dans nos institutions, notamment policières et de
renseignements, il ne sera pas inutile de se souvenir au
travers de quelques affaires emblématiques (4) de la façon
dont on peut
faire passer quelqu'un pour ce qu'il n'est pas ou fabriquer une
culpabilité.
(1) donc
intouchable sur le modèle civil des Blackwater
(2)
Les dispositifs
juridiques et
policiers sur la diffamation, l'atteinte à l'honneur, au respect des
autorités, au racisme, à l'antisémitisme, à la pédophilie, au
terrorisme, etc... sont déjà en place et ne demandent qu'à servir.
(3)
et notamment celle
concernant les "déviants"
(en
clair ceux qui n'ont
pas le gène du zombi suffisamment développé, c'est à dire
la grande majorité d'entre-nous)
(4)
Pour ne rappeler que
quelques manipulations d'enquête, qui en cachent bien d'autre au
quotidien: Christian Ranucci,
Patrick Dills, Omar Raddad, Dany Leprince, Outreau, Tarnac, policiers condamnés à Bobigny,
etc. A lire aussi le bon article de Bernard Langlois:
Manipulation, infiltration, fabrication de preuves sont pratiques
vieilles comme la police.
Voir aussi mes chroniques autour du sujet:
L'appareil de surveillance des citoyens entre les seules mains du
président
Terrorisme: Des preuves de plus en plus mal
fabriquées
Malheur
à ceux qui ne respecteront plus les dieux et les maîtres de la société
orwellienne
Puisqu'on
vous dit que votre ADN vous a trahie !
Contrôle:
Automatisation des écoutes téléphoniques par la justice
Haut
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La biométrie pour la sécurité du citoyen ou au service du flicage ?
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Par définition la biométrie est la mesure du vivant. Appliquée au traçage des êtres vivants (humains et animaux), elle sert d'instrument à leur identification et à leur suivi. Ce qui est donc important s'agissant de surveillance est moins l'instrument que la volonté qui l'emploie. En l'occurence, quel que soit cet instrument - biométrie, vidéosurveillance, fichage, etc... - le principal reste l'usage qui en est fait et l'intention finale qui le justifie. En la matière,
Pour notre sécurité. Tous les sénateurs. En quoi notre sécurité est-elle renforcée ?
Le mot biométrie signifie "mesure + vivant" ou "mesure du vivant", et désigne dans un sens très large l'étude quantitative des êtres vivants. Parmi les principaux domaines d'application de la biométrie, on peut citer l'agronomie, l'anthropologie, l'écologie et la médecine. L'usage de ce terme se rapporte de plus en plus à l'usage de ces techniques à des fins de reconnaissance, d'authentification et d'identification, le sens premier du mot biométrie étant alors repris par le terme biostatistique.Depuis le début du XXIéme siècle, le mot biométrie est utilisé également dans le sens plus restrictif de l'identification des personnes en fonction de caractéristiques biologiques telles que les empreintes digitales, les traits du visage, etc.
La biométrie présente malheureusement un inconvénient majeur. En effet aucune des mesures utilisées ne se révèle être totalement exacte car il s'agit bien là d'une des caractéristiques majeures de tout organisme vivant: on s'adapte à l'environnement, on vieillit, on subit des traumatismes plus ou moins importants, bref on évolue et les mesures changent.
Voir aussi ma chronique sur le sujet:
Nouveaux radars routiers: des armes de
verbalisations massives, mobiles et embusquées
Haut
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De petits avantages pour un très gros fil à la patte.
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Par définition la biométrie est la mesure du vivant. Appliquée au traçage des êtres vivants (humains et animaux), elle sert d'instrument à leur reconnaissance et à leur identification.
Pour notre sécurité. Tous les sénateurs. En quoi notre sécurité est-elle renforcée ?
Le mot biométrie signifie "mesure + vivant" ou "mesure du vivant", et désigne dans un sens très large l'étude quantitative des êtres vivants. Parmi les principaux domaines d'application de la biométrie, on peut citer l'agronomie, l'anthropologie, l'écologie et la médecine. L'usage de ce terme se rapporte de plus en plus à l'usage de ces techniques à des fins de reconnaissance, d'authentification et d'identification, le sens premier du mot biométrie étant alors repris par le terme biostatistique.Depuis le début du XXIéme siècle, le mot biométrie est utilisé également dans le sens plus restrictif de l'identification des personnes en fonction de caractéristiques biologiques telles que les empreintes digitales, les traits du visage, etc.
La biométrie présente malheureusement un inconvénient majeur. En effet aucune des mesures utilisées ne se révèle être totalement exacte car il s'agit bien là d'une des caractéristiques majeures de tout organisme vivant: on s'adapte à l'environnement, on vieillit, on subit des traumatismes plus ou moins importants, bref on évolue et les mesures changent.
Voir aussi ma chronique sur le sujet:
Nouveaux radars routiers: des armes de
verbalisations massives, mobiles et embusquées
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Une police sans contrôle c'est une police.
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La première caractéristique d'un régime démocratique c'est l'existence de contre-pouvoir à ses pouvoirs officiels. .
Voir aussi ma chronique sur le sujet:
Nouveaux radars routiers: des armes de
verbalisations massives, mobiles et embusquées
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