UNE PANDEMIE DE GRIPPE POUR JUSTIFIER ET METTRE EN PLACE LE GOUVERNEMENT MONDIAL
C'est toujours quand on est affaibli que l'on accepte le mieux ce que l'on refuserait en étant bien portant.
C'est sur cet état de fait que se construisent les conditionnements psychologiques et sociaux au point que la provocation artificielle de l'affaiblissement est devenue un préalable à la réussite de toutes les stratégies de manipulations de masse dont la maîtrise du processus est maintenant le principal instrument de gouvernance de la majorité des dirigeants, quels que soient leurs secteurs d'activité.
Autrement dit, créez la peur et vous obtiendrez la docilité.
C'est ainsi que le management par le stress s'est installé dans l'entreprise moderne, que les guerres bactériologiques, climatiques et économiques précédent les colonisations, que le chômage entretenu force à accepter de nouvelles conditions de travail et de rémunération, que des faits divers sordides bien médiatisés permettent de policiariser la société ou qu'un avion bien lancé dans une tour justifie la mise en place d'un Big Brother planétaire.
Fort de ce constat et en sens inverse, c'est à dire à-priori, lorsqu'un facteur de peur surgit accompagné d'un éclairage médiatique qui renforce son caractère angoissant ou qui en décuple l'importance, la première question qui doit venir à l'esprit est d'envisager ce qu'il peut justifier en terme de décisions politiques, économiques ou sociales qui vont entraîner une modification significative de nos repères sociaux, encadrer et diriger nos comportements.
La réponse est en général rapide à trouver puisqu'elle apparaît assez vite d'une part dans l'empressement des pouvoirs à fournir une "solution" à la situation déstabilisante et d'autre part dans le caractère radical, global et disproportionné de cette réponse.
Dans un article de l'Express, le méprisant (et méprisable en de maintes circonstances) Jacques Attali innove en poussant le cynisme jusqu'à prévenir que la pandémie qui s'en vient sera un bon prétexte et un accélérateur à la constitution de ce gouvernement mondial qui est dans les cartons des oligarques mondiaux et dont aucun peuple ne veut.
A ce niveau, s'agissant d'un géopoliticien dont le parcours et l'orientation intellectuelle n'ont cessé de montrer le goût et l'oeuvre pour la globalisation et la direction mondiale des populations, on ne pourra s'empêcher de percevoir au travers de l'angle choisi par son analyse que cette pandémie annoncée est au minimum une bénédiction et plus probablement le fruit d'un coup de pouce du destin qui ne doit rien au hasard.
Par voie de conséquence, ce seul aveu suffit à comprendre qu'après la fabrication de la crise financière actuelle destinée à affaiblir économiquement les populations et les pays, c'est la solution d'une pandémie mondiale qui est en cours de mise en place pour nous affaiblir physiquement ou fournir le prétexte de nous contraindre à accepter l'inoculation d'un vaccin mutant qui rendra malade ceux qui s'y plieront et permettra de soustraire de la société ceux qui le refuseront.
A voir les efforts que déploient les autorités pour installer dans nos esprits l'existence de cette pandémie au regard d'une réalité qui peine à convaincre, leur choix du terme traumatisant de pandémie que rien ne justifie pour le moment, leur annonce d'une vaccination globale des populations à l'automne et du bon sens qui nous pousse aux doutes sérieux sur les origines, la gravité et la propagation de cette grippe qui fait moins de victimes que les épidémies annuelles, on aura du mal à rester dupe des ficelles assez grosses d'une nouvelle manipulation.
Reste à savoir si nous ne sommes pas
majoritairement
suffisamment affaiblis par le respect de la fausse
légitimité des dirigeants, la
culpabilisation et la peur, pour ne plus avoir la force de
refuser ce qui sera
la dernière étape avant la mise en place de ce
gouvernement mondial qui annonce l'asservissement et contre lequel
personne ne pourra lutter.
Paul-Vincent
PAQUET - ©
Juin
2009
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