Actualisée
le 13 août 2010
Si vous avez largement plus de trente ans, vous avez certainement le souvenir des "bangs" qui trahissaient le passage d'un avion supersonique en ébranlant les carreaux des vitres. Je dis bien le souvenir car nous ne les entendons plus depuis la fin des années 70. Est-ce à dire qu'il n'y a plus d'avions passant le "mur du son" ou qu'une technique a rendu le phénomène confortable à nos oreilles ? A l'évidence ni l'un ni l'autre, mais plus certainement une interdiction faite aux avions à réaction de franchir le mur du son en dessous d'une altitude à partir de laquelle le "bang" n'est plus audible du sol.
Pourquoi ce rappel aux souvenirs d'enfance ? Parce qu'ils me sont revenus à moi-même en mémoire de manière fortuite un jour de l'été 2002 lors d'une ballade familiale dans les Alpes. Dans le ciel bleu sans nuages au-dessus des sommets blancs, mes yeux ont été attirés par la petite traînée blanche qui accompagnait les fameux avions supersoniques de mon enfance. J'attendais donc le prétexte de l'inévitable bang sonore pour expliquer à mon fils le phénomène physique. Rien n'est venu. Par contre, la traînée blanche refusait de se dissiper et s'élargissait à vue d'œil. Etait-ce comme cela "avant", quand j'étais petit ? Pas du tout.
L'incohérence du
phénomène
bousculait mes rudiments scolaires de physique pourtant en
jachère sauvage, alimentait mon usine personnelle
à bon sens et m'a fait douter de
son origine naturelle. Physiquement rien
n'expliquait
naturellement la durée, la forme et l'évolution
de cette traînée. Les trois
facteurs physiques qui conditionnent
la production de la condensation d'eau à la sortie
des turbines -
l'humidité ambiante
(supérieure à 70%), la très basse
température (inférieure à -
25°) et l'altitude (supérieure à 9.000m)
- étaient bien présents mais la
traînée qui devait
disparaître en 2/3 minutes maximum, non seulement ne
s'évaporait pas mais s'épaississait.
D'autres observations le même
jour avec des avions évoluant à des altitudes
beaucoup
plus basses et laissant les mêmes
traînées se
transformant
en nuages ont
remplacé le doute par la certitude d'avoir affaire
à un
phénomène physique d'origine chimique
comme la présence d'un adjuvant dans le carburant.
J'ai depuis fait des recherches, notamment sur le Net où d'autres internautes à travers le monde ont fait le même constat que moi. Cette recherche n'a pas été vaine, loin de là. De nombreux sites, mais aussi quelques livres (hélas en anglais) rendent bien compte d'innombrables traînées identiques et quotidiennes partout dans le monde, des explications officielles qui ne collent pas, des hypothèses rationnelles, des recherches sur les compositions chimiques des retombées de ces traînées, voire même des développements sur l'usage et les buts supposés de ce qui s'apparente à des épandages.
Ce phénomène qui a
été
baptisé chemtrails
-
abréviation de chemical trails
(traînées
chimiques) - en
comparaison avec les comtrails
(traînées de condensation), est
parfaitement établi, présent
sur tous les
continents et observable tous les
jours dans toutes les
régions de France. Un
certain nombre de données constantes sont
établies:
- la
fréquence de ces traînées est
très forte (facile à constater chez nous ou
l'activité est journalière et
volumineuse).
- leur
quantité est de plus en plus importante
(également facile à constater).
- les couloirs aériens empruntés par les avions
qui les produisent ne sont pas toujours ceux des lignes
aériennes commerciales.
- les
"témoins" involontaires (pilotes, mécaniciens,
militaires, scientifiques, etc…) subissent un tas de
pressions déguisées ou pas (dont on
imagine facilement les formes).
- des rapports d'agences militaires, gouvernementales et
scientifiques trahissent le fait qu'il existe des programmes
spécifiques consistant dans des épandages de
produits à des fins militaires (neutralisations des
populations ennemies, contrôle climatique, etc…).
- leur composition est loin de l'eau pure ! Sur ce point, l'analyse des
dépôts au sol issus des retombées de
ces nuages artificiels est édifiante comme l'indique
des articles documentés (par exemple: Baryum
test are positive Traduction, Sub-micron
particulates isolated Traduction, Extraordinary
biological observations Traduction, Biologicals
reaffirmed Traduction).
Toutes ces informations sont étayées par de nombreuses références et des recoupements que ne dissipent ou infirment aucune des rares explications officielles des autorités politiques ou militaires comme la composition du carburant. La logique est implacable.
Pour en savoir plus
Le livre en
français
Chemtrails, les tracés de la mort
est une
très bonne présentation et compilation des
informations sur le sujet
en même temps qu'une judicieuse mise en perspective des
motifs
et
des buts probables de ces épandages. De plus,
il contient
quelques recettes pour se prémunir des effets de ces
pulvérisations ou en tous cas en diminuer l'impact sur la
santé.
Par ailleurs, en tapant chemtrails dans les
moteurs de recherche Internet, vous accéderez à
une liste impressionnante de pages sur le sujet. Pour gagner du temps,
voici une liste des sites dont la visite est incontournable,
même si certains sont en anglais (utilisez la traduction
de page du traducteur
Google par exemple):
Chemtrails-France
(français, le meilleur site en français sur le
sujet, bourré d'images, de démonstrations et
d'explications),
Carnicom
(anglais, une référence documentaire
exceptionnelle),
EvolutionQuebec
(français, la rubrique chemtrails est une
très bonne présentation)
ChemtrailCentral
(anglais, beaucoup d'informations),
Rense.com (anglais, une mine sur
les chemtrails en Amérique),
Chemtrails-Suisse.ch
(français, des photos et des documents notamment la
réponse des autorités suisses).
Willthomas.net
(anglais, l'un des premiers à avoir
dénoncé les
chemtrails).
Logique prospective
A la simple observation du ciel, vous comprendrez à votre tour, qu'il ne s'agit pas d'un phénomène naturel. Et, s'il n'est pas naturel, c'est donc qu'il provient d'une cause artificielle ou qu'on le fabrique à dessein. Ceci est un constat qui pose la question de l'usage et des buts de ces pulvérisations tout comme il fait naître des interrogations sur la potentialité que leur composition puisse être porteuse de germes affectant mortellement la flore, la faune et l'humain.
Comme la réalité dépasse la fiction, encore plus aujourd'hui qu'hier et que par ailleurs la sophistication et l'emploi des moyens de contrôle, de surveillance et de manipulation forment la trame du noir destin que des puissances dessinent actuellement pour l'humanité, on peut envisager tous les usages que permettent les techniques d'épandages, même les plus fous et les plus sordides. De la manipulation climatique à celle des ondes en passant par la dispersion de virus et le besoin de couvrir la planète d'un voile, la palette est assez large pour servir n'importe lequel des va-t'en guerre ou des croisés qui tiennent les reines des principaux pays et dont le dénominateur commun semble être de considérer que les deux tiers de l'humanité sont une gêne pour le tiers restant.
Quelques
exemples de photos personnelles qui infirment l'explication physique
naturelle
de
ces phénomènes. (J'ajouterais
d'autres photos originales au grès de mes constats)
La
traînée s'épaissie rapidement
puis "s'effiloche" sous l'effet des vents.
Photo gauche
- Ici on voit une traînée derrière un
avion qui
vient de passer et la brume crée par un
précédent "épandage" poussé
par le vent.
Photo droite
- Deux types d'évolution d'une traînée.
Des ratés dans la pulvérisation ou une mauvaise coordination dans le changement de réservoirs ?
Photo gauche
-
Impossible d'expliquer cette
interruption dans la traînée par des raisons de
pure
physiques. Il semble plutôt que la buse d'éjection
a eu des
ratés à moins que ce ne soit l'interruption due
à la "bascule" entre deux
réservoirs. Les
"écharpes" qui
croisent la traînée proviennent d'un
épandage
d'avion
antérieur de 15 minutes.
Photo droite
- Le même phénomène au
même endroit, le même jour et à la
même heure mais dans la direction opposée.
Evolution sur 9 minutes d'une pulvérisation à basse altitude au-dessus de Bourges (18). L'interruption de pulvérisation est particulièrement flagrante. Plus rien à voir avec un phénomène physique naturel.
Combinaison entre des épandages parallèles et des épandages croisés. Le hasard fait bien les choses... quand on l'aide beaucoup.
Sur
la gauche les
4 traînées à basse altitude,
parallèles et simultanées, se transforment
rapidement en formation nuageuse poussée par un vent d'Est
vers les 4 autres sur la droite, de plus haute altitude, qui
se croisent en un point central à la verticale de Toulouse
(31).
Combinaison parfaite de tracés simultanés en croix. Toujours du pur hasard... comme d'habitude.
La
photo a été prise de Port-Haliguen en direction
Est-Sud-Est, environ 10
minutes après le passage de 3 avions qui se sont
croisés au point
central avec moins d'une minute d'écart entre-eux et
à la même
altitude, Le point d'intersection se situe à peu
près à la verticale
des îles de Houat et d'Hoëdic au large de Quiberon.
L'ensemble s'est
rapidement transformé en masse nuageuse qui a couvert la
Baie
de Quiberon et s'est déplacé lentement vers la
Vendée.
NB: Merci de signaler les liens inactifs. Une copie PDF de ceux-ci vous sera adressée.